GUILLAUME  APOLLINAIRE

GUILLAUME APOLLINAIRE

EPO81
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20 POÈMES EXTRAIT D'ACCOOL / Chantés par Julos Beaucarne, Léo Ferré, Yves montand, Bernard Ascal / 1 CD / POÈTES & CHANSONS

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Alcools est une œuvre de Guillaume Apollinaire. Alcools fut publié en 1913. Le recueil Alcools reprend les poèmes écrits par Apollinaire durant près de 15 ans. Alcools a également la particularité de présenter un poète déchiré par une rupture amoureuse et qu’on retrouve dans quelques-uns de ses poèmes.

LES TITRES

1 Les saltimbanques 3'16"
Yves Montand

2 Annie                      1'27"
Urbain 
                      

3 Hôtels                     2'49"
François Rascal

4 Mai                          1'56"
Patrick Hamel

5 Vous y dansiez petite fille 2'42"
Julos Beaucarne

6 Le pont Mirabeau    2'46"
Léo Ferré

7 Crépuscule              2'14"
Bernard Ascal

8 Nuit rhénane            1'50"
Élise Dabrowski

9 L'adieu                     2'09
Léo Ferré

10 Automne malade   3'10"
Léo Ferré

11 Les colchiques      2'35"
Bernard Ascal

12 Clotilde                  1'01"
Urbain

13 La Loreley              3'46"
Bernard Ascal

14 Rhénane d'automne 4'16"
Élise Dabrowski

15 Automne                   2'06"
Bernard Ascal

16 Les cloches et la tzigane 5'50"
Léo Ferré

17 Rosemonde               2'06"
Patrick Hamel

18 Les sapins  1'14
Marc Robine

19 La porte                     3'10"
Léo Ferré

20 Marizibill                    6'50"
Léo Ferré

Musiques :
1 : Louis Bessières
2-12 : Rinaldo Urbain
3 : François Rascal
4-17 : Patrick Hamel
5 : Julos Beaucarne
6-9-10-16-19-20 : Léo Ferré
7-11-13-15 : Bernard Ascal
8-14 : Élise Dabrowski / Alexandre Authelain / Gaël Ascal
18 : Marc Robine




Guillaume APOLLINAIRE 1880 - 1918 Guillaume Apollinaire de Kostrowitsky naît à Rome en 1880 de père inconnu — un noble italien probablement — et d’une mère d’origine polonaise qui fréquente assidûment les tables de jeu. En dépit d’une scolarité régulière à Monaco, Cannes puis Nice, il échoue en 1897 au baccalauréat. Rompant avec les études, il lit abondamment, découvre la poésie de son temps, s’essaie à traduire Boccace. En 1899, Madame de Kostrowitsky et ses deux fils ( Guillaume et son frère né en 1882) quitte Monaco pour Aix-les-Bains, Lyon, Paris, Stavelot ( près de Spa et de son casino) avant de se fixer à Paris. Contraint de gagner sa vie , Guillaume devient « nègre » pour un feuilletoniste, puis part un an (août 1901- août 1902) en Allemagne en tant que précepteur. Il tombe amoureux de Annie Pleyden, la gouvernante de son élève, qui repousse ses avances. De retour en France, après avoir traversé Berlin, Dresde, Prague, Vienne, Munich, il devient employé de banque et fait la connaissance d’André Salmon, d’Alfred Jarry puis de Derain, Vlaminck et Picasso. En 1905, l’échec définitif auprès d’Annie Pleyden le plonge dans une crise dont il n’émerge qu’en 1907. Il quitte alors le domicile maternel, abandonne la banque et se lie avec Marie Laurencin. Il écrit dans les journaux les plus divers — du Financier à La Culture physique — multiplie les articles de critique, les présentations de catalogue ( Georges Braque) , publie sous le manteau Onze mille verges , préface les textes libertins de la collection « Les Monstres de l’Amour » dont ceux du Marquis de Sade. Parallèlement, ses poèmes et ses contes paraissent en revue au fur et à mesure de leur écriture, ainsi en 1909 « La Chanson du mal aimé ». Au terme de plusieurs mois de conflits, Marie Laurencin l’abandonne en juin 1912, le laissant à nouveau effondré. Il corrige cependant les épreuves d’Alcools , rencontre Blaise Cendrars qui le présente à Sonia et Robert Delaunay. En relation avec les futuristes italiens et le groupe berlinois de « Der Sturm » il est de plus en plus mêlé à l’avant-garde, en peinture comme en poésie. En 1914 sont publiés ses premiers « idéogrammes » (les futurs « calligrammes »). Dès la déclaration de guerre, il dépose une double demande : d’engagement (il est incorporé en décembre 1914) et de naturalisation (qu’il obtient en 1916). Il vit auprès de Louise de Coligny-Chatillon, « Lou », une liaison aussi brève que passionnée. Il participe à l’offensive de septembre 1915 et, fantassin dans les tranchées, est blessé le 17 mars 1916 d’un éclat d’obus à la tempe. Après une longue convalescence, il est affecté dans les bureaux à Paris ce qui lui permet de revenir à la vie littéraire. Il fait représenter en juin 1917 Les Mamelles de Tirésias , prépare la parution de Calligrammes et devient une référence pour une nouvelle génération de poètes ( Soupault, Breton, Tzara, Reverdy, Albert-Birot, etc…) . Il épouse en mars 1918 Jacqueline Kolb mais atteint par l’épidémie de grippe espagnole, il meurt le 9 novembre 1918. « Placé au centre de son temps comme une araignée au centre de sa toile » selon Ribemont-Dessaignes , Apollinaire, esprit éclectique, réceptif et confiant dans les recherches des peintres de son époque, est le premier à consacrer un ouvrage au cubisme, et tout à la fois, il se rallie au futurisme et soutient le Douanier Rousseau. Son œuvre, qui peut être rattachée par nombre d’aspect à la tradition, intègre et développe toutes les expérimentations de son temps. Elle constitue le passage obligé entre le symbolisme et l’émergence du dadaïsme puis du surréalisme. Guillaume Apollinaire Bibliographie originale sélective Œuvres poétiques publiées du vivant de l’auteur 1911 Le Bestiaire ou Cortège d’Orphée (Deplanche), Illustré par Raoul Dufy 1913 Alcools (Mercure de France) 1917 Vitam impendere amori (Mercure de France) Illustré par André Rouveyre 1918 Calligrammes (Mercure de France) Publications posthumes (recueils non composés par Apollinaire) 1925 Il y a (Messein) 1949 Poèmes secrets à Madeleine (sans mention d’éditeur) 1952 Le Guetteur mélancolique (Gallimard) 1955 Poèmes à Lou (Gallimard) Parution antérieure en 1947 sous le titre Ombre de mon amour (Cailler) 1956 Œuvres poétiques complètes (Gallimard. Bibliothèque de La Pléiade) Édition établie et annotée par Pierre-Marcel Adémon et Michel Décaudin. 1977, 1991 et 1993 Œuvres en prose complètes (en 3 volumes) (Gallimard. Bibliothèque de La Pléiade) Édition établie et annotée par Michel Décaudin et Pierre Caizergues.

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