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Y'A DES ZAZOUS

Y'A DES ZAZOUS

980402
2,50 €

ANDREX
Avec Johnny Hess, Charles Trenet, Michel Warlop.
1 CD

 

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Les titres :
1 Y’a des zazous. 2'27"
Andrex

2 Ils sont zazous. 3'10"
3 Je suis swing. 2'27"
4 J’ai sauté la barrière, hop là. 3'20"
5 Rythme. 2'35"
6 Il est rythme. 3'01"
7 Ça revient. 3'15"
8 Mettez-vous dans l’ambiance. 2'24"
9 Je suis Jitterbug. 2'46"
Johnny Hess

10 La poule zazoue. 2'40"
Charles Trenet

11 C’est à vous que j’ai souri. 2'56"
12 Ça monte et ça descend. 3'04"
13 Dans son sac à main. 2'50"
14 Oh la la Lola. 2'58"
15 Madame, qu’en pensez-vous ? 2'47"
16 Une chanson qui s’envole. 2'46"
17 He hop. 3'20"
Andrex

18 C’est du rythme. 2'24"
19 Oui. 3'02"
20 Ils sont zazous. 3'24"
Michel Warlop

Vous pouvez écouter des extraits en cliquant sur le titre désiré au centre du player, vous avez aussi la possibilité de télécharger des titres ou l’album entier en cliquant sur les liens en-dessous de la pochette : par exemple sur iTunes ou amazon.


André JAUBERT. Marseille, 1907 - 1989) interprète et acteur. Ami d'enfance de Fernandel, il débute dans les caf'conc' de quartiers en imitant Maurice Chevalier et finit comme tête d'affiche à l'Alcazar et au Concert Mayol. Premier véritable succès, en 1942, avec "Bébert", bientôt suivi par "Le charme slave" (sur des paroles de Françoise Giroud), "Antonio", "Y a des zazous" et l'inénarrable "Fernand, prête-moi ton tonneau". En 1939, il chante "Comme de bien entendu", en compagnie d'Arletty et de Michel Simon, dans le film de Jean Boyer : Circonstances atténuantes. Son bagou et sa technique scénique, tenant à la fois du caf'conc' et du music-hall, lui assurent les faveurs du public populaire, pendant trente années d'une carrière également partagée entre chanson (triomphes à l'Etoile, à l'A.B.C. et à l'Alhambra) et cinéma (il tournera une soixantaine de films, sous la direction des plus grands : de Renoir à Carné, en passant par Duvivier, Grémillon, Guitry, Clouzot, Pagnol, Melville, etc.). Biographie André Jaubert naît à Marseille, au 105 de la rue Saint-Pierre. C’est à l’école Copello qu’il rencontre Fernandel avec qui il se lie d’une amitié qui ne se démentira jamais. Plus tard, Fernandel le lance au cinéma, en l'aidant à avoir des rôles (tous les réalisateurs avec qui Andrex a travaillé connaissaient Fernandel). Andrex était de environ quatre ans plus jeune que Fernandel, qui était né en 1903. Aidé par Maurice Chevalier, il fait ses débuts comme chanteur à l’Alcazar de Marseille, avant de « monter » à Paris et de se produire au Concert Mayol. Il se tourne ensuite vers le théâtre et l’opérette. En 1932, il se fait embaucher par Henri Varna au Casino de Paris qui lui ouvre les portes des plus grands music-halls de la capitale : l’ABC, Bobino, le Théâtre de l'Empire. En 1931, il apparaît dans le court-métrage de Louis Mercanton, Une idée de génie. En 1933, il joue pour la première fois avec son ami d’enfance Fernandel. Au total, on les retrouve dans 29 films car Fernandel, devenu célèbre assez rapidement, réserve souvent à son ami Andrex un rôle à sa convenance dans les films qu'il tourne. Ainsi, on les retrouve en 1934 dans le chef-d’œuvre de Marcel Pagnol, Angèle, et dans tous les autres succès populaires de l’époque : Ignace en 1937, Barnabé en 1938 ou Les Cinq Sous de Lavarède en 1939. Il joue également dans Manon (1949) sous la direction d’Henri-Georges Clouzot. C’est encore et toujours dans les films de Fernandel que l’on retrouve Andrex : on se souvient de lui dans le rôle de Rascasse dans Simplet (1942) tandis que dans Honoré de Marseille (1956) il incarne Pastèque. Il participe également au film réunissant Bourvil et Fernandel, La Cuisine au beurre (1963). Toujours en 1963, dans Monsieur de Jean-Paul Le Chanois, il campe, aux côtés de Jean Gabin, Antoine, un gangster plus naïf que malin. Andrex continue parallèlement de mener avec sa carrière d’acteur, une carrière de chanteur avec des chansons telles que Comme de bien entendu, La Samba brésilienne ou encore son plus grand succès Chez Bébert (le monte-en-l'air), dont il se souvient dans le titre de ses mémoires : On ne danse plus la java chez Bébert. Il participe à de nombreux galas sur Lyon organisés par son ami Jo Darlays (le célèbre speaker Octave-Joseph Gerbet-Darlays, dit « Jo », dit « Toto», dont Fernandel et lui avaient fait la connaissance dans la troupe du comédien Niamord de Marseille), et il y rode ses tours de chant. Darlays était aussi un ancien marin de Toulon, qui a connu plus tard le Commandant L'Herminier. Brigitte Fontaine, qui l'a personnellement connu, lui rend hommage dans son album kékéland en reprenant le titre Y a des zazous, en duo avec -M-. Du côté de sa carrière d’acteur, jusqu’au bout, Fernandel pense à lui. Dès lors, Andrex fait partie du premier film produit par la Gafer, société de production fondée, comme son nom le suggère, par Gabin et Fernandel. Au début des années 1970, il s’essaye aux séries télévisées et apparaît ainsi dans Le Petit Théâtre de Jean Renoir (1970). Après le décès, en 1971, de son épouse, l'actrice Ginette Baudin (1921-1971), et de Fernandel, son grand ami, qui l'aidait à avoir de petits rôles au cinéma, les apparitions d'Andrex dans les médias se font de plus en plus rares. En 1973, il participe avec d'autres artistes à l'enregistrement de succès de la chanson française des décennies 1930, 1940 et 1950, parus ensuite en albums de deux disques sous le label Festival (distribution Musidisc-Europe). Il apparaît au cinéma en 1979 dans Charles et Lucie de Nelly Kaplan, avant d'y revenir une dernière fois en 1983 dans le film Cap Canaille de Juliet Berto et Jean-Henri Roger. Il meurt le 10 juillet 1989 à Paris, des suites d’une attaque cardiaque. Il repose avec son épouse au cimetière de Saint-Ouen

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