GEORGIUS

GEORGIUS

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9,00 €
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4 CD / 100 TITRES / GEORGIUS L'AMUSEUR PUBLIC : SATIRES, PARODIES, CHARGES, LOUFOQUERIES, GRIVOISERIES & NON SENS / COLLECTION ROUGE & NOIR

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CD1
PARODIES, SATIRES ET CHARGES
 
01 Le Genre de la maison
02 La Plus bath des javas
03 Je suis blasé 
04 On l'appelait “Fleur des fortifs”
05 L'Homme du milieu
06 La Noce à Rebecca
07 Oh ! Oh ! Il travaille du chapeau 
08 Les Bateliers de la Bidassoa 
09 Roule... roule...! 
10 La Vraie gigouillette 
11 Plom Plom Plom 
12 Tangos... tangos 
13 Ulalie
14 Triste lundi 
15 Le Cid 
16 Monsieur Bébert 
17 La Mise en bouteille
18 Qui qu'a fait l' coup ? 
19 Kaoutchouski 
20 Dans la cave de la maison 
21 Il travaille du pinceau 
22 J' lui ai prêté mon stylo 
23 Elle a un stock 
24 Mon heure de swing 
25 Il en était 
 
 
CD2
NON-SENS ET LOUFOQUERIES
 
01 Les Archers du roy  
02 Méfiez-vous d'Anatole  
03 Le Tango neurasthénique  
04 Un agent courait 
05 L'Amour excuse tout 
06 Au dancing du casino 
07 Nos maisons 
08 J'ai l' bourdon 
09 Rentre 
10 Au lycée Papillon 
11 Juanito le dompteur 
12 Quand les andouilles voleront 
13 La Chanson de l'Exposition 
14 Dure de la feuille  
15 Partir en péniche 
16 Ça c'est de la bagnole 
17 Deux œufs durs dans du porto 
18 Daniel Pinoche (I)
19 Daniel Pinoche (II) 
20 Sur la route de Pen-Zac 
21 Des idées     
22 En vélo 
23 Un coup de vieux 
24 Keksekça Papa ? 
25 Dorénavant 
 
 
CD3
FANTAISIES, DÉLIRES, HISTORIETTES ET GRIVOISERIES
                                                      
01 Par Politesse  
02 Hortensia ou la fille du jazz-band  
03 Les Absents ont toujours tord  
04 C'est un chicandier 
05 Les Moins de cent ans 
06 Le Joueur 
07 Si vous en avez
08 Faisons des concessions
09 Ah ! Quelle vie qu'on vit  
10 La Pi-pipe en terre 
11 C'est moi Marius 
12 Vive le nu 
13 Imprudentes !  
14 Le Pochard 
15 Marie ! 
16 Le Fakir  
17 Si tu tâtais mon cœur 
18 Le Badaud du dimanche 
19 La Femme fatale 
20 Tu mens  
21 C'est pour demain
22 Totor (ou le roman d'un bagnard)
23 Méfie-toi de la patrouille 
24 J' connais la musique 
25 Totor est un têtu 
 
CD4
ET AUTRES PERLES LOUFOQUES
 
01 Le Piéton
02 Sur la pointe des pieds  
03 Ma Gosse  
04 Il n'osait pas se décider   
05 Regarde où tu mets les pieds 
06 Passons la monnaie
07 Qu'est-c' qu'il faut fair' pour gagner son bifteck  
08 Il en connaît des trucs
09 La Valse nègre
10 Le Bluffeur 
11 Les Mormons et les Papous 
12 Sur mes deux paires de pneus 
13 Les Merlans 
14 Du persil dans les narines 
15 Les Frères siamois 
16 On ne peut pas (plaire à tout le monde) 
17 Monsieur Papouille 
18 J'ai vu cette tête-là quelque part 
19 Tu n' lis donc pas les journaux 
20 La Campagne chez moi 
21 Partir la veille 
22 La Taverne des peinards 
23 L'Omnibus de Coucy-les-Coucous 
24 Mon cheval de course
Bonus:
25 Le Fils père (Robert Ledent)
 
Conception et réalisation : Jean Buzelin et Christian Marcadet
 
GEORGIUS
 
Né le 3 juin 1891 à Mantes-la-Ville, Georges Guimbourg s'intéresse très jeune à la musique et à la chanson, prend des leçons de piano et grimpe sur les planches dès l'âge de 10 ans au sein d'une société d'amateurs de Rosny-sous-Bois où il demeure. Plus tard, en 1908, travaillant dans le commerce à Paris, un collègue le présente au marchand de programmes du Concert du XXe siècle (bd Montmartre). Il est engagé pour trois jours à 15 francs les deux chansons. Il adopte alors le pseudonyme de Georgius lorsque l'impresario Dalos lui trouve des engagements dans les cafés-concerts de quartier : La Fauvette, Chansonia, le Casino de Montmartre... Alors interprète de romances, il commence à glisser dans son répertoire quelques chansons comiques qui accrochent notamment l'oreille du régisseur de la Gaîté-Montparnasse lequel, en 1912, lui conseille de se spécialiser dans ce genre qui semble mieux lui convenir. Engagé pour un an, avec l'obligation d'amener cinq chansons différentes par semaine, Georgius  épuise vite le répertoire et commence à écrire ses propres textes dès 1914, son contrat ayant été renouvelé deux fois. C'est l'apprentissage du métier où son sens de l'observation le conduit à exercer ses talents dans les parodies. Mais il a du style et n'adopte pas un accoutrement de comique personnalisé, il reste fidèle au frac noir, une fleur à la boutonnière. Après une année à fréquenter divers cafés concerts, il retrouve, cette fois en tête d'affiche, la Gaîté-Montparnasse où il monte quelques pièces dont il est l'auteur.
En 1919, il fonde sa propre troupe de comédiens-chanteurs, Les Joyeux Compagnons avec lesquels il produit de nombreuses revues et pièces en un acte qui concluent la représentation. Auteur prolifique, il écrit une centaine de chansons par an*. Si nombre d'entre elles ne vivront que le temps d'un spectacle, quelques-une resteront dans les mémoires comme Les Archers du roy (publiée en 1918) dont il se vendra, parait-il, 350 000 petits formats ou Le Fils père (1924) qu'il n'enregistrera jamais, le thème étant un peu scabreux pour l'époque**.
En janvier 1921, Georgius est à la barre de la revue “Fais-moi rire” à l'Européen. En septembre, au Concert Mayol, un vrai tour de chant comprenant 10 chansons constitue la première partie de son spectacle. Se présentant devant un décor, Georgius endosse tous les rôles de ses personnages dans une sorte de synthèse entre le caf' conc' et le music-hall. Visionnaire, il sait que le café concert de papa ne survivra pas après la guerre et, anticipant sa disparition, le fait évoluer vers de nouvelles formes, Possédant une diction parfaite, il se produit (et se produira toujours) sans micro devant un orchestre auquel il ajoutera un jazz (c'est à dire une batterie) dès 1925.
En février 1922, Georgius grave ses premiers disques, six titres dont Sur la pointe des pieds, Un agent courait et Les Archers du roy***. Les séances vont alors s'enchaîner sans interruptions : La Plus bath des javas*** et Par Politesse (1924), Le Genre de la maison qui ouvre son tour de chant (1928)... En tout, 177 graavures jusqu'en 1950.
En 1926, au Zénith, puis à l'Européen, Georgius présente son “Théâtre chantant”, qui comprend divers artistes puis les “Chansons de Paris” par lui-même en première partie, suivis d une comédie musicale après l'entracte. Entre les deux, il se présente seul sur la scène de l'Empire.
Sa revue “C'est Paris qui chante” est jouée en 1928, à la Nouvelle Scala. Seul faux-pas : participant à la revue “Allo, ici Paris”, il ne convainc pas le public du Moulin Rouge. Par contre, celui des Bouffes du Nord l'applaudit à la tête d'une troupe de 25 artistes (dont Sinoël et Esther Lekain) dans “Le Roi des sauvages”. En 1929, le “Théâtre chantant” est à Bobino....
Nous n'allons pas énumérer tous les spectacles, à Paris comme en province, qui ponctuent une carrière menée tambour battant. Devenu une grande vedette du music-hall, Georgius tourne son premier film, “Pas de femmes” avec Fernandel, en 1932. D'autres comédies sans prétentions suivront, mais le grand écran n'est pas son affaire, c'est sur scène devant son public qu'il excelle et qu'il triomphe !
En 1933 et 34, il a pris la direction de la Gaîté-Montparnasse, là où il a débuté, qu'il rebaptise Studio d'Art Comique avant de renoncer suite aux difficultés financières.
L'apogée de sa carrière, illustrée par ses meilleures chansons et ses plus grands succès,  se situe tout au long des années 30 : Triste lundi, Au lycée Papillon (1936), Monsieur Bébert , La Mise en bouteilles (1937), Ça c'est de la bagnole ((1938), Sur la route de Pen-Zac, 160 000 78 tours (1939), etc. Surnommé “L'Amuseur public n°1”, il joue au théâtre, pousse les couplets de l'opérette “Dédé” aux Bouffes-Parisiens, participe à la revue “Parade de France” au Casino de Paris, chante au Bœuf sur le Toit...
C'est à l'Alhambra, en 1935, qu'il étrenne son célèbre habit blanc, un chrysanthème à la boutonnière.
Très actif durant l'Occupation sur scène et à la radio (ce qui lui sera reproché malgré quelques couplets perfides bien envoyés : Il travaille du pinceau, En vélo, Méfie-toi de la patrouille), il assure la direction artistique de trois théâtres, l'Étoile, l'Ambigu et le Théâtre Antoine (revue “Paris 1900”).
En avril 1944 est jouée “La Revue de Georgius” à Bobino. Il retrouvera le music-hall de la rive gauche en octobre 46, puis en mai 51, avant d'y faire ses adieux à la scène en avril 1954. 
Entre temps, Georgius a pris la plume, après Au lycée Papillon, son premier roman, il se lance dans une série de policiers sous le pseudonyme Jo Barnais. De temps en temps, il quitte sa ferme de l'Oise, par exemple pour enregistrer son premier 33 tours ; publié en 1965, qui sera suivi d'un Musicorama à l'Européen et de quelques passages télévisés dans les émissions de Michèle Arnaud et de Jean-Christophe Averty.
Et, tandis que Les Charlots relancent avec succès Sur la route de Pen-Zac, Georgius s'éteint, après une vie bien remplie, le 8 janvier 1970 à Bazoches-sur-Guyonne... à ne pas confondre avec Fricandeau-sur-Baloche... Quand les andouilles voleront !
 
Véritable phénomène doté d'un talent exceptionnel, Georgius est bien plus qu'un ”fantaisiste”, c'est un grand humoriste, un auteur, inventeur d'œuvres comiques, loufoques, non-sensiques, cocasses et hilarantes qu'il développe, avec une verve inépuisable, en un délire progressif. Observateur hors pair, il pioche tous azimuts à partir d'un événement, d'une situation pour composer une chanson, véritable petite pièce insolite, agrémentée d'apartés, de commentaires, de dialogues et de sketches, et tire sans sommation dans tous les coins avec un allant, un battant, un sens de la répartie qui font crouler l'assistance, du titi à l'intello (Colette, Dullin, Desnos, Leiris, Guitry...). Sur un rythme trépidant qui s'appuie sur les excellentes musiques qui collent parfaitement aux paroles, il tient la scène plus de deux heures sans temps morts, mettant dans sa poche le public grâce à sa gouaille, son esprit, sa gaîté, ses allusions grivoises et ses incongruités, avec ses charges, ses pastiches et ses histoires à dormir debout. Une tornade !
Peut-être le plus grand comique de l'histoire de la chanson.




Fantaisiste et chansonnier français, est né le 3 Juin 1892 à Mantes-La-Jolie et est décédé à Paris le 8 Janvier 1970. Doué d'une jolie voix de ténorino, il chante des opérettes classiques et des romances, au sein d'une association de jeunes amateurs de théâtre à Paris. Ses idoles étant Paulus et Georgel, il adopte le nom de Georgius. Ses véritables débuts datent de 1917. Il est engagé au Concert du XXe siècle, puis à la Gaîté Montparnasse. Le succès vient vite. En 1918, il forme une troupe: “Les Joyeux Compagnons”, pour donner des spectacles dans les faubourgs. Lassé de chanter les chansons des autres, il décide de composer lui même celles qu'il met en scène et joue comme de petits vaudevilles. Défenseur ardent de la cause du Café Concert français, il rajeunit ce genre et l'élève à la taille du music-hall par d'originales mises en scène, faisant appel à de jeunes peintres, décorateurs et éclairagistes. En 1926, il fonde le Théâtre Chantant, qui présente ses revues et tours de chant à l'Empire, l'Eldorado, la Scala, la Renaissance, Bobino, l'Alcazar, etc... Et aussi en province (Marseille, Bordeaux). “Amuseur publique N°1”, Georgius, sanglé dans son traditionnel habit blanc, l'oeuillet à la boutonnière, attire la sympathie des foules par un style très personnel, fait de bonne humeur, de saine jovialité et de dynamisme faubourien. Surnommé le “Champion de la respiration” parce qu'il débitait ses refrains en un temps record, il est l'auteur de près de 1500 chansons (dont “Le Lycée Papillon”, “Ca, c'est d'la bagnole”, “Imprudente”), d'une douzaine de revues et opérettes et de 18 comédies.En 1934, Georgius joue dans “La Porteuse de pain” au théâtre de la Renaissance avec Marcelle Géniat, et tourne dans plusieurs films de 1932 à 1950. Après la guerre, il ne retrouve plus le succès et abandonne la scène en 1950 pour se consacrer à la rédaction d'une quinzaine de romans policiers sous le pseudonyme de Jo Barnais. Il signe néanmoins, deux succès des Charlots: “Les Durs de la feuille” et “Sur la route de Penzec” (160.000 disques vendus en quelques mois).Il meurt à 78 ans d'une affection pulmonaire. Biographie Un artiste prolifique Il est le fils de Georges Charles Joseph Guibourg, instituteur, rédacteur au Petit Mantais puis rédacteur en chef d'un journal hebdomadaire, La France aérienne, fils et petit-fils de commerçants et d'artisans, et de Clémentine Augustine Bouteilly, née à Saint-Pierre-sur-Dives, dans le Calvados, fille de cultivateur. Georges Guibourg commence sa carrière en 1908, en chantant des chansons dont il dira plus tard : « Ma vraie nature ne s'était pas encore révélée et je pleurnichais ce répertoire pompier que j'ai tant parodié par la suite. J'en sentais le ridicule, mais j'avais la conviction que le public aimait ça ». Au fur et à mesure des différents engagements avec des cabarets, il se met à écrire quelques chansons comiques. C'est en 1912 qu'il entame véritablement sa carrière de chansonnier. Appelé au théâtre de la Gaîté-Montparnasse pour remplacer un chanteur comique, ses chansons plaisent tellement que le théâtre lui fait signer un contrat pour un an ; il y restera trois. Il écrit durant cette période beaucoup de chansons, à raison de cinq par semaine, et s'associe avec de nombreux compositeurs pour la musique. En 1916 il commence à écrire des pièces de théâtre, qu'il joue ensuite avec sa troupe, créée en 1919, Les Joyeux Compagnons. En 1923, il est l'un des chansonniers les plus connus de France. Ses apparitions et ses revues ont un franc succès : il se produit même une émeute à l'Alcazar de Marseille, car les locations ne peuvent satisfaire la demande. Sa chanson la plus connue à l'époque est La plus bath des javas, une parodie des javas à la mode. Il continue à tourner, à monter des revues avec sa troupe, rebaptisée le Théâtre Chantant en 1926. En 1927, il écrit et interprète La Noce à Rebecca (qui fut également chantée par André Perchicot en 1928 et par Fernandel), catalogue des clichés antisémites. 1930 est une année faste pour lui : il sort La Route de Pen-Zac, dont il vendra plus de 160 000 disques, un record pour l'époque ! Les spectacles s'enchaînent, et tout le monde se presse pour le voir. Les surréalistes et les intellectuels l'apprécient beaucoup3, et Robert Desnos parle de lui dans ses chroniques musicales. C'est à cette époque qu'il gagne son surnom l'Amuseur public numéro . En 1934, il devient brièvement directeur du théâtre de la Gaîté-Montparnasse où il joue ses créations tout en programmant des artistes d'avant-garde telles Dora Stroeva ou Marianne Oswald, puis ouvre La Villa chagrin à Montmartre. La même année, il reprend le rôle créé par Maurice Chevalier dans l'opérette Dédé au théâtre des Bouffes-Parisiens. En 1936, nouveau succès, avec la chanson Au Lycée Papillon, qui bat aussi des records de vente (avec un couplet qui n'est plus chanté aujourd'hui, car aussi à clichés antisémites). Suivent encore Ça c'est de la bagnole et On ne peut pas plaire à tout le monde. En 1938 il est auteur et interprète d'une chanson comique contre Hitler : Il travaille du pinceau (s'il se moque du peintre en bâtiment, Hitler était en fait artiste peintre dans sa jeunesse). L'Occupation et l'interdiction de scène à la Libération Il continue ses revues pendant la guerre, ce qu'on lui reprochera à la Libération. En 1941, il interprète Sganarelle dans Le Médecin malgré lui à la Comédie-Française. En 1941 et 1942, il est le directeur artistique de trois théâtres : le théâtre de l'Étoile, le théâtre Antoine et le théâtre de l'Ambigu. Pour avoir créé sous l'Occupation une Association syndicale des auteurs et compositeurs professionnels pour laquelle il avait fait campagne dans Je suis partout avec la complicité d'Alain Laubreaux et avoir monté la pièce d'Alain Laubreaux sur Stavisky, Les Pirates de Paris, dans son théâtre de l'Ambigu, il est en 1945 interdit de scène pendant un an par le Comité National d'Épuration du Spectacle (arrêté du ministre de l'Éducation nationale du 11 janvier 1945). Reconversion en auteur de polars Pendant son interdiction de scène, il entame une carrière d'auteur de romans policiers pour la Série noire sous le pseudonyme de Jo Barnais4. À la fin de son interdiction de scène en 1946, il crée au Casino Montparnasse une dernière revue sur le temps passé, dont Jane Aubert est aussi la vedette, et quitte définitivement la scène en 1951. Il a écrit au cours de sa vie 1 500 chansons, 2 000 saynètes, de nombreux scénarios et une dizaine de romans policiers. Vie privée En 1934, il vit avec Marcelle Irvin5 et ils ont ensemble une fille Georgette6 ; ils se marient en 19397. Georgius s'éteint le 8 janvier 1970 et est inhumé à Bazoches-sur-Guyonne. Filmographie 1932 - Pas de femmes de Mario Bonnard avec Fernandel, Raymond Aimos, Francine Chevreuse, Teddy Dargy 1933 - La Maison hantée de Roger Capellani avec Max Berger, Amy Cariel, Monette Dinay, Paulette Dubost, Roger Goupil, Maximilienne, Suzy Pierson et Trévoux 1934 - Le Club des fauchés de André Pellenc (court-métrage d'après la pièce de Georgius) 1934 - Un train dans la nuit de René Hervil avec Dolly Davis, Charles Dechamps, Alice Tissot 1935 - Sans elle de M.Deleric (court-métrage) 1935 - Avec les pompiers de René Bussy (chanson filmée) 1935 - Le Train d'amour de Pierre Weill avec Nino Constantini, le Moralès de Judex de Maurice Champreux (1934), Colette Darfeuil et Vanda Gréville 1936 - Le Lycée Papillon de Louis Cuny (chanson filmée) 1936 - Vous n'avez rien à déclarer ? de Léo Joannon avec Raimu (dans le rôle de Papillot), Pierre Brasseur (dans celui d'Edmond Trivelin) et Pauline Carton (dans celui de Madame Trivelin) et Saturnin Fabre 1938 - Champions de France de Willy Rozier 1939 - Le Vrai Marsouin 1945 : Vingt-quatre heures de perm' de Maurice Cloche 1949 - Tête blonde de Maurice Cam (scénario de Georgius, qui ne joue pas le film) avec Jules Berry, Pauline Carton, Jeanne Fusier-Gir, Marcel André, Mouloudji, Jean Tissier. 1951 - Sous le ciel de Paris de Julien Duvivier Merci Wikipédia

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