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Bernard ASCAL / Aimé CÉSAIRE - 10 ANS...

Bernard ASCAL / Aimé CÉSAIRE - 10 ANS DÉJA

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1 CD / BERNARD ASCAL CHANTE ET DIT AIMÉ & SUZANNE CÉSAIRE / ÉDITION ANNIVERSAIRE / 10 ANS DÉJÀ

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               Tout l’espoir n’est pas de trop pour regarder le siècle en face
.

Ainsi s’exprimait Aimé Césaire en 1941 devant les déchaînements d’agressivité qui ravageaient la planète au milieu du XXème
 siècle. Des forces similaires d’anéantissement sévissent en ce moment même — de l’archaïque couteau d’égorgeur toujours en usage aux armes létales les plus sophistiquées — et les paroles d’Aimé Césaire ne seront jamais assez relayées pour retremper notre confiance en l’humain.

10 ans déjà depuis la disparition d’Aimé Césaire, le 17 avril 2008. Pour cet hommage, Bernard Ascal a souhaité associer ses poèmes à l’un des textes de son épouse Suzanne. Ils se sont aimés, ont forgé mutuellement leur indépendance d’esprit, ont lutté ensemble… et furent parents de six enfants.

Le CD 

01 Je déclare mes crimes     1’ 10
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Cahier d’un retour au pays natal © Editions Présence Africaine, 1983

02 La loi des corauxNous les chiffonniers…     1’ 17
Aimé Césaire
Extrait de Moi, laminaire… © Editions du Seuil, 1982
 
03 Les blancs disent     2’ 34
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Cahier d’un retour au pays natal © Editions Présence Africaine, 1983
 
04 Depuis Akkad, depuis Elam, depuis Sumer     3’ 07
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Cadastre © Editions du Seuil, 1961
 
05 Faveur – Je croise mon squelette…     1’ 07
Aimé Césaire
Extrait de Moi, laminaire… © Editions du Seuil, 1982
 
06 Comique et laid     2’ 55
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Cahier d’un retour au pays natal © Editions Présence Africaine, 1983
 
07 L’Ombre gagne     2’ 31
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Tout l’espoir n’est pas de trop © Le Temps des Cerises, 2002
 
08 Rabordaille – En ce temps-là…     2’ 10
Aimé Césaire
Extrait de Moi, laminaire… © Editions du Seuil, 1982
 
09 Comme il y a des hommes-hyènes     1’ 30
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Cahier d’un retour au pays natal © Editions Présence Africaine, 1983
 
10 Références     2’ 10
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Comme un malentendu de salut © Editions du Seuil, 1994
 
11 Le négrier craque     2’ 50
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Cahier d’un retour au pays natal © Editions Présence Africaine, 1983
 
12 Nouvelle bonté  - Il n’est pas question…     1’ 09
Aimé Césaire
Extrait de Moi, laminaire… © Editions du Seuil, 1982
 
13 Blanc à remplir sur la carte voyageuse du pollen     1’ 55
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Ferrements © Editions du Seuil, 1960
 
14 Prophétie – Là où l’aventure…     1’ 39
Aimé Césaire
Extrait de Les armes miraculeuses © Editions Gallimard, 1946
 
15 Paroles d’île     2’ 19
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Comme un malentendu de salut © Editions du Seuil, 1994
 
16 Fils de la foudre     2’ 00
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Cadastre © Editions du Seuil, 1961
 
17 Le grand jeu de cache-cache     7’ 21
Suzanne Césaire
Extrait de Le Grand camouflage. Ecrits de dissidence (1941-1945) © Editions du Seuil, 2009
 
18 Une route bossuée     1’ 49
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Cahier d’un retour au pays natal © Editions Présence Africaine, 1983
 
19 Dans ma mémoire     2’ 30
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Cahier d’un retour au pays natal © Editions Présence Africaine, 1983
 
20 Dyali     3’ 16
Aimé Césaire - Bernard Ascal
Extrait de Comme un malentendu de salut © Editions du Seuil, 1994

Musiciens et enregistrements
Bernard ASCAL  est, dans l’ordre d’apparition, accompagné par :
Benoît SIMON : Guitare (1 – 6 - 18)
Philippe DOURNEAU : Clarinette (1)
Jean-Michel CHARBONNEL : Contrebasse (1 – 6 – 10 – 13 – 15 – 18 - 20)
Yves MOREL : Accordina (3 - 4) ; Trombone (7 – 9 – 11 - 16) ; Claviers (11) ; Arrangement (7 – 9 – 11 - 16)
Delphine FRANCK : Violoncelle (3 – 4 – 7 – 9 – 11 - 16)
Matthias MAHLER : Trombone (6 - 20)
Cécile CHARBONNEL : Voix (6)
Jérôme LEFEBVRE : Guitare (10)
Sylvain DURAND : Piano (13 – 15 – 19 - 20) ; Arrangement (19 - 20)
Emmanuelle SCHREIBER : Violoncelle (19)
Brice PICHARD : Trompette (20)
 
Mon compagnonnage avec les littératures des mondes noirs date de 1967, soit plus de cinquante années de découvertes littéraires et d’émerveillements poétiques. Dans le cadre de ma démarche de mise en musique de la poésie, trois événements jalonnent mon profond attachement à ces littératures.
En 2000, le poète Erwann Rougé, alors directeur artistique du festival Les Tombées de la Nuit à Rennes, me permis de créer un récital intégralement consacré à onze auteurs africains et antillais : Jean-Marie Adiaffi, Tanella Boni, Aimé Césaire, Léon Gontran Damas, René Depestre, Ousmane Moussa Diagana, David Diop, Abdellatif Laâbi, Léopold Sédar Senghor, Véronique Tadjo, Bernard Zadi Zaourou.
Ce fût le spectacle Fleuve Atlantique présenté en France, au Maroc, en Côte d’Ivoire… avec Jérôme Lefebvre ( guitare), Matthias Mahler (trombone), Gaël Ascal (contrebasse) et le CD éponyme.
En 2002, Aimé Césaire me donne son accord pour que je mette en musique et que j’enregistre, sous la forme d’un oratorio, sa fresque poétique Cahier d’un retour au pays natal. Un premier état est présenté à Paris, en juin 2003, sur la scène du XXème Théâtre, à l’occasion de son 90ème anniversaire, avec Claire Delaporte (chant), Fabian Daurat (guitare), Matthias Mahler (trombone), Gaël Ascal (contrebasse).
Plusieurs années me furent encore nécessaires pour mener à bien cette réalisation. Aimé Césaire en a suivi l’avancement et je devais lui remettre, en juin 2008, le CD-double à Fort-de-France durant les fêtes prévues pour son 95ème anniversaire.
Un troisième moment d’importance fut l’obtention, en 2010, d’un « Grand prix » de l’Académie Charles Cros pour mon CD-double Poètes de la Négritude / 50 ans - Les indépendances. Cette parution avait déjà reçu un soutien dont j’étais particulièrement heureux : celui du collectif Mémoire Afrique — association constituée d’historiens africains.  
J’ai prolongé cette parution en 2017 par un second CD-double intitulé Afrique(s) – De Tananarive à Port-au-Prince. J’y interprète les onze poètes déjà présents dans Fleuve Atlantique mais aussi : René Maran, Jean-Luc Raharimanana, Alain Mabanckou, Habiba Djanine, Gabriel Okoundji, René Philoctète, Joyce Mansour, Tahar Djaout, Jean-Joseph Rabearivelo, Mohammed Dib, Edouard Joseph Maunick, Ketty Nivyabandi, Jacques Rabemananjara. 

Aimé CESAIRE
Aimé Césaire naît sur l’île de la Martinique en 1913, d’un père petit fonctionnaire de Basse Pointe et d’une mère couturière de formation. Durant  ses études au lycée de Fort-de-France, en classe de cinquième, il se lie d’amitié avec Léon Gontran Damas qui arrive de Guyane. Une bourse d’études permet à Aimé Césaire de poursuivre sa scolarité à Paris. Il y rencontre Léopold Sédar Senghor qui lui révèle l’Afrique et retrouve Damas déjà installé en France. S’engage alors, entre ces trois hommes, une fondamentale prise de conscience identitaire à laquelle participent nombre d’étudiants noirs sans distinction d’origine territoriale. Il en naît la revue L’Étudiant noir dans laquelle s’affirme le refus du modèle politique et culturel colonial, et se forge une notion porteuse d’espoirs et de bouleversements considérables : la « négritude ». C’est aussi à Paris qu’Aimé Césaire rencontre et épouse, en 1937, Suzanne Roussi. De leur union naîtra six enfants. Césaire donne une première version du Cahier d’un retour au pays natal  qui est publiée par la revue Volontés juste avant son départ pour la Martinique, fin août 1939. Le 3 septembre la France entre en guerre contre l’Allemagne. À la mi-septembre, Aimé et Suzanne Césaire ainsi que leur premier fils débarquent à Fort-de-France. Durant la traversée de retour vers Le Havre, leur navire est torpillé et coulé.
Professeur de Lettres au lycée Schoelcher de Fort-de-France de 1940 à 1945, il fonde avec son épouse, enseignante elle aussi, avec René Menil, Aristide Maugée et d’autres amis, la revue Tropiques qui conteste, au fil de ses quatorze numéros, l’ordre vichyste institué par le gouverneur de l’île. Suzanne Césaire figure plusieurs fois au sommaire pour des essais qui exerceront une influence durable et c’est par cette revue qu’André Breton découvre Aimé Césaire en 1941.
En 1945,  il est élu maire de Fort-de-France (il le restera jusqu’en 2001) et quelques mois plus tard député communiste de la Martinique. Dès son élection à la Chambre des députés, il travaille à la départementalisation des Antilles, de la Guyane et de la Réunion. Après sa fracassante démission du parti communiste en 1956, il fonde le Parti Progressiste Martiniquais qu’il préside jusqu’en 2005. De 1958 à 1993, il est député apparenté au groupe socialiste.
Dans le même temps Aimé Césaire développe une œuvre littéraire à la portée internationale, s’articulant autour de la poésie, du théâtre et de la réflexion historique et politique. En 1950 il publie Discours sur le colonialisme dont la deuxième édition en 1955, aux éditions Présence Africaine*, imprègnera profondément les mouvements émancipateurs. L’année 1956 voit la parution de l’état définitif du Cahier d’un retour au pays natal , et de la tragédie  Et les chiens se taisaient. En 1962, Césaire publie une étude sur Toussaint Louverture dont la rébellion a permis qu’en 1804 Haïti devienne le premier pays à se libérer de ses structures esclavagistes et à proclamer son indépendance. Il donne ensuite pour le théâtre La Tragédie du roi Christophe en 1963.  Cette pièce qui aborde les problèmes de la décolonisation, après avoir été jouée à travers le monde, entre, en 1991, au répertoire de la Comédie Française. En 1967, avec Une saison au Congo , il retrace le parcours tragique de Patrice Lumumba.
Dans son œuvre où le destin personnel se confronte à l’aventure collective, Césaire bat en brèche toutes les formes d’enfermements. La luxuriance de son verbe aux éclats surréalistes, la puissance de son souffle, n’ont d’égale que sa confiance en l’humain, en sa capacité à projeter des futurs plus généreux. La poésie de Césaire propage, ainsi que l’exprime Lilyan Kesteloot, « la force quasi magique de la foi qui déplace les montagnes ».
* Sous l’impulsion de Alioune et Christiane Yandé Diop est créée à Paris, en 1947, la revue Présence Africaine, puis en 1949, la maison d’édition du même nom. Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Richard Wright font partie du groupe originel. 
                                                                                                       
Suzanne CÉSAIRE
Née en 1915 , aux Trois-Îlets, en Martinique, Suzanne Roussi est fille d’une institutrice et d’un employé d’une fabrique sucrière. C’est une jeune bachelière remarquée pour  son intelligence et sa beauté qui arrive à Paris en 1933 afin de mener plus avant ses études. Elle se lie d’amitié avec la comédienne Jenny Alpha, l’avocate Gerty Archimède, les poètes Léon Gontran Damas et Léopold Sédar Senghor. Elle est étudiante à l’Ecole normale supérieure lorsqu’elle rencontre, en 1936, Aimé Césaire. Ils s’épousent en juillet 1937. Pour l’occasion, la mariée arbore « un tailleur rouge, pour bien marquer la dimension laïque, flamboyante et amoureuse de leur union » dixit Daniel Maximin *.
Elle cofonde en Martinique, en 1941, avec son mari, avec René Ménil, Aristide Maugée et Lucie Thésée, la revue Tropiques. C’est une publication de résistance à l’ordre fasciste qu’imposent aux Antilles les gouverneurs délégués par Vichy.
Les qualités littéraires et d’analyses tant politiques qu’artistiques des contributions de Suzanne Césaire à Tropiques préfigurent une grande œuvre à venir. Hélas, trop de fronts à mener — la responsabilité d’une famille nombreuse, le militantisme pour l’antillanité et les droits des femmes, le métier de professeur de lettres, le soutien aux actions de maire et député de son mari sans compter les allers et retours entre Fort-de-France et Paris qu’engendrent ces mandats — mettent à mal non seulement sa capacité à écrire mais aussi leur couple.
Suzanne et Aimé Césaire vivent en France de 1945 à 1949, retournent en Martinique puis, en 1955, se réinstallent en métropole. Ils divorcent en 1963. Trois ans plus tard, en 1966, Suzanne Roussi décède d’un cancer du cerveau.
*L’oeuvre écrite de Suzanne Césaire est brève : sept articles publiés par la revue Tropiques auxquels s’ajoute une adaptation pour le théâtre d’une nouvelle de Lafcadio Hearn,  Youma, aurore de la liberté, montée à Fort-de-France dont le texte semble perdu. Ils ont été rassemblés et présentés par Daniel Maximin, en 2009, dans un remarquable ouvrage publié par les éditions du Seuil sous le titre Le Grand camouflage.
 
                                                                                                                                  Bernard Ascal

 

 

Poète, écrivain, peintre, musicien et chanteur ayant de fortes attaches avec le surréalisme, Bernard Ascal est aussi directeur de collection chez EPM. Il a produit plus de 50 albums pour la collection Poètes et Chansons, mis en musique Césaire (Cahier d’un retour au pays natal) et de nombreux surréalistes et poètes d’origine francophone. Il travaille actuellement sur les poésies de Picasso Familier des chemins de traverse et les revendiquant, Bernard Ascal a toujours développé une pratique quotidienne de la musique, de l’écriture et de la peinture. Cette dernière, présentant de fortes connivences avec le surréalisme et le pop- art, fut longtemps son activité sociale dominante. Auteur de poèmes, de nouvelles et de chansons de sensibilité libertaire dans lesquels l’humour le dispute à la noirceur, il a créé de nombreux spectacles sur les scènes du réseau alternatif parisien. Compositeur et interprète, Bernard Ascal mène, par des récitals et des enregistrements, tant en France qu’à l’étranger, un travail de mise en musique des poètes d’expression française du XXe siècle et contemporains. Il porte une attention particulière aux auteurs surréalistes — de Benjamin Péret à Joyce Mansour — ainsi qu’à ceux de l’Afrique et des Antilles — de Léon Gontran Damas à Abdellatif Laâbi. Il a fait paraître, en 2008, sous la forme d’un oratorio, sa version du Cahier d’un retour au pays natal d’Aimé Césaire. Bernard Ascal est aussi le directeur artistique de la collection d’enregistrements sonores "Poètes & Chansons" chez EPM. Extrait À mes corps et esprit défendant, je traverse, au sein d’un monde en détresse, de nombreuses crises de bien-être. Pour atténuer ces privilèges, je partage mon temps libre entre des œuvres de charité et d’exténuantes courses montagnardes. …/… Après la montée, la descente, après la descente, la montée précédent une nouvelle descente devançant une prochaine montée qui anticipe… Ah ! les pompes des cours de gymnastique scolaire, il n’y avait que quelques séries de dix à enchaîner ! Ah ! les chapelets des cours de catéchisme, il n’y avait que quelques séries de cent à égrener ! Abrutissement hypnotique engendré par la fatigue et la répétition ad libitum. Perte irrémédiable du libre-arbitre. Effondrement de la volonté. Une-deux, up-down. Monter-descendre Sans issue. Exempté de sac à dos et néanmoins souffle coupé, non par la beauté du paysage, mais par le manque d’oxygène. Je m’entraîne à suffoquer. Excellent pour le reste de l’année : impôts, feux rouges, amendes, contrôles, vapeurs d’oxyde et vexations diversifiées. …/… Dans les pays les plus riches du monde, ceux qui se développent à mesure que les autres sombrent dans un dénuement endémique, la fatigue physique est devenue une denrée génératrice de profits. La fatigue : nouvelle quête, nouveau créneau de vente, nouveau pèlerinage. Les sociétés occidentales ne procurent plus à leurs populations les doses indispensables de Fatigue-Travail, aussi leur inoculent-elles des substituts de Fatigue-Loisirs. Divertissements à la chaîne. Pointage aux trois-huit ludiques Extraits de Un cul de sac dans le ciel, Éditions Rhubarbe, 2009. Bibliographie Poésie Pas même le bruit initial, Éditions Gros Textes, 2014. Le Cadre et le clou, notes d’atelier, Éditions Rhubarbe, 2011. Un cul de sac dans le ciel (notes d’un marcheur), Éditions Rhubarbe, 2008. Le Gréement des os, préface de Bernard Noël, Éditions Le Temps des Cerises / Éditions Écrits des Forges, 2005. Tout l’espoir n’est pas de trop, anthologie réalisée par Bernard Ascal, consacrée à douze poètes de l’actuelle francophonie, Éditions Le Temps des Cerises / Éditions Écrits des Forges, 2002. La Cuvette, nouvelles, Éditions Chez Léopold, 2000. Signe-Singe, poèmes accompagnés de cinq photographies de Bernadette Tintaud, Éditions Cirrus, 2000. Imbu d’embus, notes sur la peinture, Éditions L’Hypoténuse, 1996. Couacs en sourdine, chansons, Éditions Bleu Pantoufle, 1991. Discographie Afrique(s) de Tananarive à Port-au-Prince, EPM, 2017. Pablo Picasso, Poèmes et propos, EPM, 2013. Philippe Soupault, EPM, 2011. Aimé Césaire « Cahier d’un retour au pays natal », Oratorio, EPM / Universal, 2008. Le Corbusier « Le poème de l’angle droit », EPM / Socadisc, 2006. Senghor-Césaire-Damas, EPM / Socadisc, 2006. Douze poètes francophones : D. Desautels, E.J. Maunick, W. Lambersy, G. Haldas, A. Césaire, T.Boni, P.Chamberland, F. Ascal, B. Noël, V. Tadjo, A. Laâbi, T. Djaout., EPM / Socadisc, 2005. Fleuve-Atlantique : J-M. Adiaffi, T.Boni, A.Césaire, L-G. Damas, R.Depestre, O.M. Diagana, D.Diop, A.Laâbi, L.S. Senghor, V.Tadjo, B.Zadi Zaourou., Khamsa / EPM / Socadisc, 2003. L’Étreinte du monde : poèmes d’Abdellatif Laâbi, Khamsa / EPM / Socadisc, 2001. Six poètes surréalistes : J.Arp, M.Leiris, J.Mansour, B.Péret, R.Queneau, P.Soupault , EPM / Socadisc, 1997.

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