Lys GAUTY / 1933 - 1939

Lys GAUTY / 1933 - 1939

140
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SES SUCCÈS / 1 CD RÉÉDITION EPM-CHANSOPHONE

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1 C'est le plaisir que j'aime
2 Mon cœur est léger
3 J'ai tout trouvé près de toi
4 Je te regarde dormir
5 La Gamme de la vie 
6 L'Amour tel qu'on le parle
7 L'Auto du charbonnier
8 Pour toi je veux rêver
9 La Prière du pauvre homme
10 Israël, va-t-en
11 Les Larmes
12 Dans tes bras doucement
13 Chanson de l'escadrille
14 Chanson du cul de jatte
15 Le Bonheur est entré dans mon cœur
16 Dis-moi pourquoi
17 Le Bassin de La Villette 
18 Y'a d'l'amour dans mon cœur
19 Une femme, un accordéon, un cabooulot
20 Ce soir ou bien jamais
21 Tu sais pour qui je chante
22 La Rosière du régiment
23 La Belle marinière
Lys Gauty, de son vrai nom Alice Gauthier, née le 14 février 1900 à Levallois-Perret1 et morte à Monte-Carlo le 2 janvier 1994, est une chanteuse française. Biographie Lys Gauty (1946) Alice Gauthier est née dans une famille modeste : son père est mécanicien et sa mère couturière. Après des cours de couture et de dactylographie, elle commence très jeune à travailler comme vendeuse dans un grand magasin puis chez une modiste. Avec ce que ses parents lui laissent de son salaire, elle prend des cours de chant. En effet, sa voix a été remarquée dès l'école. Dotée d'une formation classique, c'est pourtant chez Fyscher (de Nelson Fyscher) en 1924, rue d'Antin, qu'elle entame une carrière de chanteuse de music-hall avec Georges Van Parys pour pianiste. En 1925, elle chante à l'Olympia. Le Suisse Gaston Groëner, de douze ans son aîné, qui devient son mari en 1925, prend en charge la direction d'une carrière émaillée de nombreux succès et cosigne certaines de ses chansons. Il dirige le Théâtre de 10 Heures de Bruxelles et les premiers disques de Lys Gauty sortent donc en Belgique chez Gramophone en 1928. En 1930, elle débute au cinéma dans le film parlant de Maurice Gleize, Jour de noces. Cette expérience d'actrice se renouvelle en 1938 lorsqu'elle tient le rôle-titre du film La goualeuse de Fernand Rivers. En 1934, elle dénonce l'antisémitisme ambiant dans sa chanson Israël, va-t-en. Cependant, son plus grand succès reste la valse Le chaland qui passe (1933), version française de la chanson italienne Parlami d'amore, Mariù, chantée par Vittorio De Sica. En 1937, avec humour elle s'auto-parodie avec Le chaland qui reste. Elle triomphe dans les cabarets (La Boîte à Matelots, 1932 ; La Folie de Lys Gauty, 1933...) et les music-halls (Bobino, 1933 ; Alhambra, 1934 ; A.B.C., 1935, 1936...). En 1933, elle reçoit le Grand Prix du disque pour son interprétation de deux airs de L'Opéra de Quat'sous : le Chant de Barbara et la Fiancée du Pirate de Kurt Weill. En 1934 elle est élue la reine des Six Jours au Vel' d'Hiv, dont elle est l'impératrice en 1935. Elle était connue pour les longues robes blanches qu'elle portait lors de ses concerts. Elle a comme particularité d'avoir été une des premières interprètes des chansons à texte[réf. nécessaire] tout en chantant aussi des mélodies populaires. Damia, lui reprochant de ne pas être assez mélodramatique, la surnomme « la sous-préfète ». Connue et appréciée en Angleterre et aux Pays-Bas, elle fait en 1939 une tournée en Amérique du Sud. En 1946, elle est de retour, à l'Alhambra, avec Un petit bouquet de violettes et En écoutant mon cœur chanter. À la Libération on lui reproche ses interventions sur Radio Paris et une tournée avec Fréhel et Raymond Souplex organisée par l'association Kraft durch Freude (la Force par la Joie) en Allemagne pendant laquelle elle chante devant les ouvriers du S.T.O et les prisonniers des Stalags en 19423. Elle ne revient jamais sur le devant de la scène. Elle divorce en 1947. Léo Ferré devient pour un temps son pianiste. En 1950, elle joue et chante dans l'opérette Ma Goualeuse au Casino-Montparnasse. Toujours en 1950, elle dirige le Casino de Luchon et y fonde le Festival de la Voix. Elle abandonne la scène vers 1953 pour devenir directrice d'un cabaret dans la région de Nice, où elle fonde une école de chant. Elle se reconvertit plus tard en reprenant la direction d'une agence immobilière à Monte-Carlo. Lys Gauty est décédée à Monte-Carlo en 1994. Elle est enterrée dans le cimetière de Saint-Gengoux-de-Scissé en Saône-et-Loire, commune du Haut-Mâconnais où elle possédait une maison dans laquelle elle séjournait régulièrement. Wikipédia

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