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Maguy FRED / 1930 - 1933
164
6,67 €
SES SUCCÈS / 1 CD RÉÉDITION EPM-CHANSOPHONE
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1930 - 1933
1 Un peu de courage
2 Pluie
3 Bye ! Bye !
4 Je n'ai jamais su
5 Rien ne vaut tes lèvres
6 Gosse de Paris
7 La Petite femme de Paris
8 Dors mon petiot
9 Si demain tu me quitttais
10 Valsons Lison
11 C'est moi Mélie
12 C'étaient deux amoureux
13 Ne brulez pas vos lettres d'amour
14 Tu devais m'aimer tendrement
15 J'te vois v'nir
16 Pas ce soir
17 Reste
18 On s'aime bien nous deux
19 Console-moi
20 Change !
21 La p'tite Nini
22 Chagrin
23 Robinson
1 Un peu de courage
2 Pluie
3 Bye ! Bye !
4 Je n'ai jamais su
5 Rien ne vaut tes lèvres
6 Gosse de Paris
7 La Petite femme de Paris
8 Dors mon petiot
9 Si demain tu me quitttais
10 Valsons Lison
11 C'est moi Mélie
12 C'étaient deux amoureux
13 Ne brulez pas vos lettres d'amour
14 Tu devais m'aimer tendrement
15 J'te vois v'nir
16 Pas ce soir
17 Reste
18 On s'aime bien nous deux
19 Console-moi
20 Change !
21 La p'tite Nini
22 Chagrin
23 Robinson
Triste histoire que celle de Maguy Fred née Alfreda Soriaux le 6 juillet 1905 et assassinée quelques jours avant le 17 novembre 1934, date à laquelle son petit ami, l'accordéoniste Antonin Jean Gallardini, après être resté trois jours seul au côté de sa victime, s'est suicidé non sans avoir mis le feu à la guinguette que les deux possédaient au bord de la Seine à Villeneuve le Roi. - Le couple n'en était pas à leur première altercation : trois ans auparavant, il avait tenté de la tuer avec un stylet mais n'avait réussi qu'à la blesser et elle, malgré la maladive jalousie de son conjoint avait, à ce moment-là, retiré sa plainte.
De lui, existe quelques enregistrements, aujourd'hui introuvables ; d'elle, sur la centaine qu'elle a faits, on peut n'en retrouver quelques repiquages dans certaines compilations [*] si l'on fait exception des vingt-trois titres publiés en 1996 par Chansophone (le numéro 164)
Ce qui est malheureux dans tout ça, c'est qu'elle avait une belle voix, que son choix de chansons était excellent et que, si elle avait vécu plus longtemps, elle serait sans doute devenue une grande vedette de la classe des chanteuses réalistes des années trente et quarante et peut-être même une bonne meneuse de revues. - On n'a qu'à écouter sa version du grand classique de Mistinguett, "Gosse de Paris" ("Je suis née dans l'faubourg St-Denis") - extrait ci-dessous -, pour s'en rendre compte.