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YVETTE GUILBERT
980772
8,33 €
SES GRANDS SUCCÈS 1907-1934
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Le fiacre
L'hotel du N° 3
Les quatre z'étudiants
Madame Arthur
Les caquets de la couchée
Partie carrée
Les vieux messieurs
J'suis dans l'bottin
Son nombril
Quand on vous aime comme ça
L'éloge des vieux
Verligodin
D'elle à lui
Laissez faire le temps
Enfance
Elle était trs bien
Je m'embrouille
Dites-moi que je suis belle
Je suis pocharde
La soularde
(Paris, 1865 - Aix-en-Provence, 1944) auteur et interprète.Orpheline de père, elle travaille très tôt comme « petite main », dans la couture, et aborde le théâtre vers l’âge de 19 ans. Après six mois d'études avec le critique Landrol, elle débute en 1888 aux Bouffes du Nord dans Les petites ouvrières de Paris, puis joue à Cluny la même année, et aux Théâtre des Variétés l'année suivante. Mais d’avoir tant chanté lorsqu’elle était cousette (les ateliers de couture étaient, alors, de véritables pépinières de chanteuses), la chanson reste sa passion principale, malgré une première expérience désastreuse, au Casino de Lyon, où elle doit quitter la scène sous des jets de tomates. En 1889, elle passe en lever de rideau à l’Eldorado ; mais, là encore, la direction la remercie avant terme : sa voix pointue et sa silhouette sans rondeurs n’étant manifestement pas du goût des spectateurs habituées aux chanteuses bien en chair.Devant ces échecs répétés, Yvette Guilbert décide de tenter sa chance en Belgique, où elle réussit à faire rire le public du Pavillon de Flore, à Liège ; ce qui lui vaut un engagement plus important à Bruxelles, où elle connaît son premier succès avec « la Pocharde », une chanson qu’elle a écrite dans un moment de désespoir. Ayant découvert les Chansons sans-gêne de Léon Xanrof (« Le fiacre »), elle adopte le genre tragico-comique et la silhouette qui feront sa gloire (la dame rousse aux gants noirs, vêtue de satin vert, immortalisée par Toulouse-Lautrec). De retour en France, en 1890, elle chante au Moulin Rouge, sous le nom de Nurse Valéry, et le public l’accepte enfin et l’acclame. Sa carrière est désormais lancée. Elle reprend alors son véritable nom et en profite pour se constituer un répertoire plus solide, avec lequel elle triomphe au Divan Japonais, puis à la Scala où elle tient le haut de l’affiche, sans interruption, de 1892 à 1895.Faisant désormais salle comble partout où elle se produit, on la surnomme « la diseuse fin de siècle », et son humour grinçant séduit aussi bien le public intellectuel et anticonformiste des habitués du Chat Noir que celui, plus populaire, des cafés-concerts.En 1900, une grave affection rénale l’oblige pourtant à rompre son contrat avec la Scala ; une maladie qui la gênera pendant plus de quinze ans et nécessitera six interventions chirugicales successives. Elle abandonne alors son répertoire boulevardier et se consacre à de longues recherches sur la chanson ancienne et traditionnelle, qui la mèneront à interpréter désormais des airs du XVIe ou XVIIe siècle, et des complaintes méconnues comme « Les anneaux de Marianson ».Ainsi, après avoir créé le genre « diseuse », et chanté pendant dix ans un répertoire qu’elle qualifiait elle-même de « boulevardier et graveleux », Yvette Guilbert passera-t-elle plus de vingt-cinq ans à défendre ce qu’elle appelait « les plus beaux chants de France » ; sans oublier d’y mêler, régulièrement, des textes de poètes comme Baudelaire, Jammes, Laforgue, Richepin, Verlaine, etc
L'hotel du N° 3
Les quatre z'étudiants
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Quand on vous aime comme ça
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Verligodin
D'elle à lui
Laissez faire le temps
Enfance
Elle était trs bien
Je m'embrouille
Dites-moi que je suis belle
Je suis pocharde
La soularde
(Paris, 1865 - Aix-en-Provence, 1944) auteur et interprète.Orpheline de père, elle travaille très tôt comme « petite main », dans la couture, et aborde le théâtre vers l’âge de 19 ans. Après six mois d'études avec le critique Landrol, elle débute en 1888 aux Bouffes du Nord dans Les petites ouvrières de Paris, puis joue à Cluny la même année, et aux Théâtre des Variétés l'année suivante. Mais d’avoir tant chanté lorsqu’elle était cousette (les ateliers de couture étaient, alors, de véritables pépinières de chanteuses), la chanson reste sa passion principale, malgré une première expérience désastreuse, au Casino de Lyon, où elle doit quitter la scène sous des jets de tomates. En 1889, elle passe en lever de rideau à l’Eldorado ; mais, là encore, la direction la remercie avant terme : sa voix pointue et sa silhouette sans rondeurs n’étant manifestement pas du goût des spectateurs habituées aux chanteuses bien en chair.Devant ces échecs répétés, Yvette Guilbert décide de tenter sa chance en Belgique, où elle réussit à faire rire le public du Pavillon de Flore, à Liège ; ce qui lui vaut un engagement plus important à Bruxelles, où elle connaît son premier succès avec « la Pocharde », une chanson qu’elle a écrite dans un moment de désespoir. Ayant découvert les Chansons sans-gêne de Léon Xanrof (« Le fiacre »), elle adopte le genre tragico-comique et la silhouette qui feront sa gloire (la dame rousse aux gants noirs, vêtue de satin vert, immortalisée par Toulouse-Lautrec). De retour en France, en 1890, elle chante au Moulin Rouge, sous le nom de Nurse Valéry, et le public l’accepte enfin et l’acclame. Sa carrière est désormais lancée. Elle reprend alors son véritable nom et en profite pour se constituer un répertoire plus solide, avec lequel elle triomphe au Divan Japonais, puis à la Scala où elle tient le haut de l’affiche, sans interruption, de 1892 à 1895.Faisant désormais salle comble partout où elle se produit, on la surnomme « la diseuse fin de siècle », et son humour grinçant séduit aussi bien le public intellectuel et anticonformiste des habitués du Chat Noir que celui, plus populaire, des cafés-concerts.En 1900, une grave affection rénale l’oblige pourtant à rompre son contrat avec la Scala ; une maladie qui la gênera pendant plus de quinze ans et nécessitera six interventions chirugicales successives. Elle abandonne alors son répertoire boulevardier et se consacre à de longues recherches sur la chanson ancienne et traditionnelle, qui la mèneront à interpréter désormais des airs du XVIe ou XVIIe siècle, et des complaintes méconnues comme « Les anneaux de Marianson ».Ainsi, après avoir créé le genre « diseuse », et chanté pendant dix ans un répertoire qu’elle qualifiait elle-même de « boulevardier et graveleux », Yvette Guilbert passera-t-elle plus de vingt-cinq ans à défendre ce qu’elle appelait « les plus beaux chants de France » ; sans oublier d’y mêler, régulièrement, des textes de poètes comme Baudelaire, Jammes, Laforgue, Richepin, Verlaine, etc
(Paris, 1865 - Aix-en-Provence, 1944) auteur et interprète.
Orpheline de père, elle travaille très tôt comme « petite main », dans la couture, et aborde le théâtre vers l’âge de 19 ans. Après six mois d'études avec le critique Landrol, elle débute en 1888 aux Bouffes du Nord dans Les petites ouvrières de Paris, puis joue à Cluny la même année, et aux Théâtre des Variétés l'année suivante. Mais d’avoir tant chanté lorsqu’elle était cousette (les ateliers de couture étaient, alors, de véritables pépinières de chanteuses), la chanson reste sa passion principale, malgré une première expérience désastreuse, au Casino de Lyon, où elle doit quitter la scène sous des jets de tomates. En 1889, elle passe en lever de rideau à l’Eldorado ; mais, là encore, la direction la remercie avant terme : sa voix pointue et sa silhouette sans rondeurs n’étant manifestement pas du goût des spectateurs habituées aux chanteuses bien en chair. Devant ces échecs répétés, Yvette Guilbert décide de tenter sa chance en Belgique, où elle réussit à faire rire le public du Pavillon de Flore, à Liège ; ce qui lui vaut un engagement plus important à Bruxelles, où elle connaît son premier succès avec « la Pocharde », une chanson qu’elle a écrite dans un moment de désespoir. Ayant découvert les Chansons sans-gêne de Léon Xanrof (« Le fiacre »), elle adopte le genre tragico-comique et la silhouette qui feront sa gloire (la dame rousse aux gants noirs, vêtue de satin vert, immortalisée par Toulouse-Lautrec). De retour en France, en 1890, elle chante au Moulin Rouge, sous le nom de Nurse Valéry, et le public l’accepte enfin et l’acclame. Sa carrière est désormais lancée. Elle reprend alors son véritable nom et en profite pour se constituer un répertoire plus solide, avec lequel elle triomphe au Divan Japonais, puis à la Scala où elle tient le haut de l’affiche, sans interruption, de 1892 à 1895.
Faisant désormais salle comble partout où elle se produit, on la surnomme « la diseuse fin de siècle », et son humour grinçant séduit aussi bien le public intellectuel et anticonformiste des habitués du Chat Noir que celui, plus populaire, des cafés-concerts.
En 1900, une grave affection rénale l’oblige pourtant à rompre son contrat avec la Scala ; une maladie qui la gênera pendant plus de quinze ans et nécessitera six interventions chirurgicales successives. Elle abandonne alors son répertoire boulevardier et se consacre à de longues recherches sur la chanson ancienne et traditionnelle, qui la mèneront à interpréter désormais des airs du XVIe ou XVIIe siècle, et des complaintes méconnues comme « Les anneaux de Marianson ».
Ainsi, après avoir créé le genre « diseuse », et chanté pendant dix ans un répertoire qu’elle qualifiait elle-même de « boulevardier et graveleux », Yvette Guilbert passera-t-elle plus de vingt-cinq ans à défendre ce qu’elle appelait « les plus beaux chants de France » ; sans oublier d’y mêler, régulièrement, des textes de poètes comme Baudelaire, Jammes, Laforgue, Richepin, Verlaine, etc
Biographie
Portrait par Alice Boughton
Née le 20 janvier 1865, rue du temple dans le 3e arrondissement de Paris, Yvette Guilbert est issue de l'union d'Hippolyte Guilbert, un brocanteur et patron d'une fabrique de confection normand, et d'Albine Hermance Julie Lubrez, une chapelière belge.
En 1873 ou 1874, elle est demi-pensionnaire à la pension Couard au 32 de la chaussée de l'Etang à Saint-Mandé (où sa mère tenait boutique). D' où aujourd'hui, une salle Yvette Guilbert, avenue Pasteur.
En 1881, après six mois passés dans un atelier de couture, elle entre comme vendeuse aux grands magasins Le Printemps du boulevard Haussmann à Paris.
En 1885, elle suit des cours d'art dramatique. Elle se révèle « timide à la ville et audacieuse à la scène », comme elle le rapporte elle-même[réf. nécessaire], fait ses premiers pas au théâtre des Bouffes du Nord, puis passe au théâtre de Cluny. Fin 1885, Yvette Guilbert rencontre Charles Zidler, directeur de l'Hippodrome et créateur du cabaret parisien Moulin Rouge.
En 1887, elle entre au théâtre des Nouveautés, où elle a notamment un petit rôle dans une pièce de Feydeau. L'année suivante, elle passe au théâtre des Variétés, où, là encore, elle n'a que de petits rôles. Elle décide alors de se tourner vers la chanson et le café-concert. Ses débuts sont difficiles, elle est très critiquée et récolte plus de sifflets que d'applaudissements. Cette année-là (le 19 juin?), elle épouse Max Schiller (17 juillet 1861,Iasi - 1946 ou après), un chimiste (ou médecin) d'origine allemande ou autrichienne naturalisé américain. Le mariage est de 1887 ou de 1897 ?
Elle tient les premiers rôles dans l'opérette Le Moulin de la galette d'Alphonse Allais et Jules Desmarquoy en 1888, puis en 1890 dans la revue légère3 de George Auriol et Narcisse Lebeau, Pourvu qu'on rigole, que donne le Divan japonais, café chantant de la rue des Martyrs dirigé par Jehan Sarrazin, où elle se produit régulièrement jusqu'en 1892. Elle se produit aussi au Concert parisien en 1892 dans la revue de fin d'année Cligne en haut ! Cligne en bas ! d'Adrien Vély et Halévy. Sarrazin, son directeur artistique, la surnomme la diseuse fin de siècle, car elle a l'habitude d'entrecouper ses chansons de phases parlées.
Entre-temps, en 1889, elle obtient un engagement à l'Eldorado, qu'elle quitte presque aussitôt pour entrer à l'Éden-Concert, mais ne parvient toujours pas à se faire un nom. elle se produit aussi à L'Horloge, 1890.
En 1889, Freud, présent au premier congrès international de l'hypnotisme du 8 au 12 août, vient l'écouter à l'Eldorado sur les conseils de Mme Charcot. Par la suite, Freud affichera dans son bureau une photo dédicacée par elle et ils entretiendront une correspondance assez soutenue9,10. Ceci malgré leur divergence à propos de l'affaire Dreyfus. En effet, elle était antidreyfusarde. Elle interprète de nombreuses chansons de Paul de Kock. En février 1891, Marcel Proust lui consacre son premier article dans Le Mensuel.
L'été 1892, elle chante à Liège, puis à Bruxelles et est enfin ovationnée. Elle est même surprise du succès d'une chanson légère de sa composition intitulée La Pocharde. À son retour, pour sa rentrée parisienne, elle demande une augmentation à l'Éden-Concert, et face au refus, elle rompt — à grands frais — son contrat puis obtient un engagement au Moulin Rouge qu'elle doit à la confiance de Charles Zidler. Henri-Julien Dumont exécute une affiche la représentant en 1893 pour sa revue aux Ambassadeurs (« l'affiche au chat »).
Atteinte d'une grave maladie à partir de 1896, elle rompt tous ses contrats, en pleine gloire, et sans regrets, en 1900. La même année, elle se fait édifier boulevard Berthier à Paris, par l'architecte Xavier Schoellkopf, un hôtel particulier, aujourd'hui détruit. Pendant cette période, elle se constitue un nouveau répertoire de chansons anciennes. Pour cela, elle se documente très sérieusement et effectue des recherches dans différentes bibliothèques. Elle adapte et traduit plusieurs textes du théâtre médiéval (en français, en anglais et en latin), dont les drames édités par Edmond de Coussemaker11, ainsi que le Miracle de Pierre le changeur, La Guerre et le débat entre la langue, les membres et le ventre de Jean de Salisbury traduit par Jehan d'Abundance. Elle adapte également Les Goinfres, pièce en 2 actes et 8 tableaux, d'après La Condamnation de Banquet de Nicolas de La Chesnaye.
L'Horloge. Champs Elysées.
Mais en 1906, elle finit par remonter sur scène, au Carnegie Hall de New York, et renoue même avec le théâtre dans une pièce de Edmond Guiraud et Jean Hinx (L'Eau Trouble) au Théâtre royal du Parc, puis au Casino de Nice en 1913, mais avec un répertoire tout à fait nouveau, composé de chansons plus littéraires, comportant ses reprises de poésies anciennes et modernes, ainsi que des chansons du Moyen Âge. Elle enseigne et fonde une école, et donne des conférences-concerts.
Elle regagne la France en 1922 et fonde le "Théâtre religieux du Moyen âge" avec l'aide de Joseph Bédier et Gustave Cohen.
Elle consacre la fin de sa vie aux grandes salles d'Europe et d'Amérique, avec pour pianiste Irène Aïtoff (1904-2006). Parallèlement, elle ouvre une école de chant à Bruxelles, tourne dans quelques films, rédige des chroniques, fait de la mise en scène, anime des émissions de radio et écrit des livres.
Représentation de Madame Chiffon, comédie musicale d'Yvette Guilbert, à la Salle Pleyel, avril 1933.
En 1933, elle écrit et met en scène une comédie musicale, en trois tableaux, Madame Chiffon, marchande de frivolités, qui est créée à la Salle Pleyel (le 3 avril pour la presse et le 4 avril pour le public). Une représentation devant les professionnels eut lieu le 31 mars). Elle sera reprise l'année suivante à la salle des Annales. La musique est composée par Fernand Raphaël. Yvette Guilbert souhaitait mettre en scène un rôle de femme âgée, mais toujours galante et pleine de vie, inspirée de sa grand-mère : "Tiens, voici, pour moi, l'occasion de reconstituer une de ces femmes peut-être hurluberlues en apparence mais au fond pleines de bon sens, âgées sans doute, mais charmantes, toujours dotées des choses fraîches que le temps et l'expérience fanent si vite chez les moins bien douées (...) J'ai pris plaisir à soigner ce rôle d'aïeule galante mais de belle santé". Ne trouvant pas d'actrice pour le rôle-titre, elle l'interpréta elle-même ("Comme aujourd'hui les actrices se refusent la fierté d'avouer leur âge, j'ai dû accepter de l'interpréter moi-même, ce dont je suis ravie). Le reste de la distribution comprenait : Renée Camia, José Delaquerrière, Henri Dangès, et Jacques Derives. La pièce fut précédée d'un prologue, publié dans la revue Comoedia le 27 mars (en ligne [archive]). Malgré le succès critique16,17, aucun directeur de théâtre ne la programma.
Allée Yvette Guilbert, dans le quartier des Batignolles, dans le 17e arrondissement.
Yvette Guilbert a enregistré des chansons pendant presque quarante ans, ce qui nous vaut de nombreux enregistrements conservés, du début du cylindre commercialisé aux disques enregistrés électriquement.
De 1931 ou avant à 1938 ou peu après, elle habite au 120, rue de Courcelles (nombreuses lettres). Pendant la guerre, elle descend dans le sud pour protéger son mari qui était juif.
Yvette Guilbert meurt le 3 février 1944 à Aix-en-Provence18. D'abord inhumés dans cette ville19, ses restes sont transférés en octobre 1946 dans le cimetière du Père-Lachaise (94e division).
Tombe d'Yvette Guilbert, Paris, cimetière du Père-Lachaise (division 94).
Évocation
« Je déjeunais de temps à autre chez Mme Louis Stern avec Mme Réjane et Mme Yvette Guilbert qui chantait de vieilles chansons françaises et composait des rondes pour enfants. Elle était une dame âgée, très digne, habillée d'une robe de chantilly noir.
Filmographie
1896 : On the Calais Steamboat
1904 : Berceuse verte - chanson filmée -
1904 : Le Fiacre - chanson filmée -
1904 : Les Vierges - chanson filmée -
1919 : An Honorable Cad de George Terwilliger - court métrage -
1924 : Les Deux Gosses de Louis Mercanton - Film tourné en 8 épisodes -
1926 : Faust, une légende allemande de Friedrich Wilhelm Murnau - Marthe
1926 : La Petite Fadette (Die lachende Grille) de Frederic Zelnik - Fadette
1928 : L'Argent de Marcel L'Herbier - La Méchain
1929 : L'argent vous fait tout faire réalisation anonyme - chanson filmée
1929 : Autour de l'argent de Jean Dréville - moyen métrage, documentaire -
1929 : Bluff de Georges Lacombe - court métrage -
1929 : C'est le mai de Jacques-Bernard Brunius - chanson filmée -
1929 : Le Manque de mémoire d'Henri Chomette - court métrage -
1931 : Le Cycle du vin réalisation anonyme - chanson filmée -
1931 : En zinc sec de Louis Mercanton - court métrage -
1931 : La Mère Bontemps réalisation anonyme - court métrage -
1931 : Voici le printemps de Louis Mercanton - chanson filmée -
1932 : La Dame d'en face de Claude Autant-Lara - court métrage -
1932 : Laissez faire le temps - réalisation anonyme - court métrage -
1932 : Pêcheurs belges en Islande de Fernand Rigot - documentaire - Elle même -
1933 : Les Deux Orphelines de Maurice Tourneur - La Frochard
1933 : Pêcheur d'Islande de Pierre Guerlais - La grand-mère Mohan
1936 : Faisons un rêve de Sacha Guitry - Elle-même, en invitée au prologue
Merci Wikipédia