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Julos BEAUCARNE / NOUS SOMMES 100...
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Julos BEAUCARNE / NOUS SOMMES 100 MILLIONS...

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NOUS SOMMES 100 MILLIONS DE FRANCOPHONES
Chante les poètes du monde entier…

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Nous sommes 100 millions de francophones…

Vous y dansiez petite fille (Guillaume Apollinaire).
Si je partais pour oublier (Françoise Bastenier).
Ce fléau natif de Tournai (Charles Baudelaire).
Je n’aurai jamais le temps de lire tous les poèmes du monde (Julos Beaucarne).
J’aimerais garder ma vie telle qu’elle est ainsi (Henri Bertrand).
Par-dessus Terre (Roger Bodart).
Lettre à des amis perdus (René Guy Cadou).
Il pleut (Francis Carco).
L’eau passe (Maurice Carême).
Complainte du lézard amoureux (René Char)
Le temps a fui (Paul Claudel).
Moi je vis la vie à côté (Charles Cros).
La figue et le paresseux (Alphonse Daudet).
Vous aviez mon cœur  (Marceline Desbordes-Valmore).
Le pélican (Robert Desnos).
Tel un moineau (Blaga Dimitrova).
La libération de l’homme et de la femme(Raoul Duguay).
Le jardinier (Max Elskamp).
Je fis un feu (Paul Éluard).
Ève (Pierre Faulx).
Que reste-t-il ? (Benjamin Fondane).
Non, je suis un homme… (Michel de Ghelderode).
La mort (Camille Goemans).
Cette année-là (Marcel Havrenne).
À vous mes beaux messieurs (Nazim Hikmet).
Je ne songeais pas à Rose (Victor Hugo).
Le vent triste (Francis Jammes).
Lorsque nous étions réunis à table (Félix Leclerc).
C’est une peinture ancienne (Madeleine Ley).
Elle est venue vers le palais (Maurice Maeterlinck).
Chez nous le ciel est bas (Marcel Mariën).
J’ai vu l’eau (Henri Michaux).
Jeune fille plus belle que toutes nos légendes (Gaston Miron).
Donne-moi la main (Gabriella Mistral).
Beau chevalier (Alfred de Musset).
Si la Garonne elle avait voulu (Gustave Nadaud).
Ah comme la neige a neigé (Émile Nelligan).
Voici venu le froid radieux de septembre (Anna de Noailles).
Antoinette et moi (René de Obaldia).
Quand nous aurons joué nos derniers personnages (Charles Péguy).
Je t’offre un verre d’eau glacé (Odilon-Jean Périer).
La Provence (Peire Vidal).
La vieille Marie (Henri Pourrat).
Les petits bergers (Charles-Ferdinand Ramuz).
Souvenir vague ou les parenthèses (Edmond Rostand).
Car à l’instant même du désastre (Antoine de Saint-Exupéry).
Quand reverrai-je mon pays ? (Léopold Sédar Senghor).
L’hiver (William Shakespeare).
Nuit tiède du Mozambique (Noémia de Souza).
L’enfant de la haute mer (Jules Supervielle).
J’étais allé mendiant (Rabindranâth Tagore).
La fête (Jean Tardieu).
Toi qui pâlis au nom de Vancouver (Marcel Thiry).
Sympathies errantes (Charles Van Lerberghe).
e me souviens (Ben Vautier).
Joie de vivre (Émile Verhaeren).
N’est-ce pas (Paul Verlaine).
Un enfant veut répondre (Paul Vincensini).
C’est le premier our (Liliane Wouters).
Nous sommes 180 millions de francophones (Julos Beaucarne).
2 CD

Vous pouvez écouter des extraits en cliquant sur le titre désiré au centre du player, vous avez aussi la possibilité de télécharger des titres ou l’album entier en cliquant sur les liens en-dessous de la pochette : par exemple sur iTunes ou amazon.

Le plus connu des chanteurs de Belgique. Poète et magicien, jouant du rêve et de la tendresse, de la poésie et du fantastique. Auteur, écrivain, compositeur, chanteur Julos a tous les talents. L’une des toutes premières chansons enregistrées par Julos Beaucarne en 1967 s’appelait Le serrurier magique. Quarante ans plus tard, le personnage n’a guère dévié de sa route. Toujours magicien, jouant du rêve, de la tendresse, de la poésie et du fantastique pour illuminer en profondeur son théâtre de marionnettes. Et plus que jamais serrurier. Serrurier du verbe, habile à son parcours d’artisan, ouvrant des sentiers de vagabondage dans les cloisonnements de nos cœurs. Julos est passé maître depuis longtemps et pourtant il ne cesse jamais d’apprendre à mieux polir le mot ou la note, à plus finement ciseler la phrase, à modeler avec encore plus d’audace les reliefs du silence.Le résultat en est un lourd fardeau d’expérience, où s’entrelacent pêle-mêle des bonheurs fous et des chagrins à déchirer les pierres, des odeurs de terre, d’humus et d’arbres fruitiers, des danses villageoises et des rires de gosses, des ogres et des roses, des marquis et des cosmonautes, des marins, des printemps… Tout Julos est là, dans sa faconde, sa cocasserie, sa profondeur… Marc Robine Biographie Julos Beaucarne est élève au collège Saint-Vincent de Soignies. Entre 1961 et 1966, il est comédien à Bruxelles (surtout au Rideau de Bruxelles et au théâtre de l'Alliance). Julos Beaucarne enregistre son premier 45T en 1964 et sort son premier 33T en 1967, Julos chante Julos. Depuis, il produit environ un album tous les deux ans. Citons L'Enfant qui veut vider la mer (1968), Julos chante pour vous (1969), Chandeleur 75 (1975), Les Communiqués colombophiles (1976), Julos au Théâtre de la ville (1977), La P'tite Gayole (1981), Chansons d'amour (2002), double album d'un concert donné avec Barbara d'Alcantara (pseudonyme de Barbara Sernells) à la ferme de Wahenges, près de son village de Tourinnes-la-Grosse, et deux CD où il chante des poèmes qu'il a mis en musique. Ces albums se présentent comme des montages de chansons, de poèmes récités, de monologues humoristiques, de « prises de sons et d'extraits de voix »… Chaque album est ainsi une ambiance, plus qu'un concept, dont les chansons traduisent de multiples façons un état d'âme particulier où se mêlent la révolte (« Lettre à Kissinger », « Bosnie-Herzégovine »), la tendresse (« Y vaut meyeu s'bêtchi »), l'humour (« Pompes funèbres ») et le quotidien, comme la voix de son voisin Ferdinand dans les « Communiqués colombophiles ». Bien qu'on puisse qualifier ses œuvres de chansons à texte, leur aspect musical y tient une place majeure : deux albums instrumentaux regroupant certaines de ses mélodies sont parus (L'univers musical en 1981 et 1989). Il refuse le vedettariat, a sa propre maison d'édition de disques et de livres (les éditions Louise-Hélène France), échappant ainsi aux obligations des majors de la publication. Il continue d'habiter dans son village de Tourinnes-la-Grosse en Wallonie et intervient lui-même tout simplement sur le forum de son site internet. En 2006, Julos fête ses « 20 ans depuis 50 ans » : Julos 70 est un événement très couvert médiatiquement en Belgique (télés, radios, journaux). L'occasion pour l'artiste de présenter un nouveau spectacle et de sortir un CD de ses nouvelles chansons, un nouveau livre (l'intégrale des textes de ses chansons), un DVD d'un de ses spectacles, un nouveau site internet, des expos, des conférences… Michel Nesme (viticulteur à Lantignié dans le Beaujolais) a par ailleurs utilisé le nom de son chanteur/poète favori pour nommer son domaine « Domaine de la Beaucarne ». « Il faut s'aimer à tort et à travers » Lors d'un stage d'art dramatique en France, il rencontre Louise Hélène France Brunfaut (Loulou), la fille d'Émilienne Steux une militante syndicaliste, féministe et pacifiste belge, et de Maxime Brunfaut, un architecte et urbaniste belge. C'est à la suite du meurtre de sa compagne Loulou par un déséquilibré, à la Chandeleur le dimanche février 19756, que son style devient encore plus profondément humaniste. Il écrit cette nuit-là une lettre ouverte, analysant la culpabilité de la société qui arme les mains des assassins, assorti d'un appel à « reboiser l'âme humaine » par « l'amour, l'amitié et la persuasion ». Nombre de ses chansons et de ses textes se rapportent à cette « séparance », comme il dit. Après ce drame, il voyage, en particulier au Québec et renforce ses liens avec les chanteurs francophones de la culture du Kébek, selon la graphie du poète Raôul Duguay. À la mort du roi Baudouin, il est choisi comme symbole du peuple belge pour chanter un hommage au roi défunt. Cet artiste qui a proposé un hymne national wallon aux paroles simples et pacifiques a par ailleurs été anobli en juillet 2002 par le roi Albert II et peut porter le titre de chevalier. Il signe aussi le Manifeste pour la culture wallonne en 1983. Il met en chanson des poèmes, d'auteurs belges (en particulier Max Elskamp) ou non-belges, ce qui a donné naissance aux chansons « Je ne songeais pas à Rose » (Vieille chanson du jeune temps venant du recueil de poèmes Les Contemplations de Victor Hugo), « Je fais souvent ce rêve étrange » (d'après le sonnet Mon rêve familier de Verlaine)... Il a deux fils, Christophe, né en 1965, et Boris8, né en 1973, qui ont annoncé la création d'une fondation Julos Beaucarne, le 30 juin 20149. Apôtre de l'écologie Pour le reste, Julos est depuis le début un infatigable apôtre de l'écologie, de l'amour entre les hommes, un vélorutionnaire d'avant-garde. New age, diront certains, mystique pour d'autres, Julos Beaucarne échappe aux modes (« maladies mentales entretenues par le commerce »), vivant délibérément selon ses mots dans un âge post-industriel, où le monde sera « neuf ou veuf ». On lui doit, sous une allure de facétie terriblement sérieuse, la création de deux « mouvements » sans cartes ni membres répertoriés : le Front de Libération de l'Oreille1, et le Front de Libération des Arbres Fruitiers. Dans les années 2000, Julos s'essaye à la sculpture avec des objets de récupération et détournés de leur usage premier (proche de l'art singulier). Il crée ainsi dans un champ, à la ferme de Wahenges en Belgique, un ensemble de 36 pagodes post-industrielles à partir de tourets de chantiers récupérés et empilés par ordre de taille décroissante. Anarchiste En 2014, Julos Beaucarne déclare : « Anarchiste, je le suis jusque dans la moelle de mes os ! Anarchiste, selon moi ça veut dire proposer des pistes que les autres n’ont pas encore explorées et enfoncer des portes qui n’ont pas été encore ouvertes. C’est ce que je fais depuis cinquante ans maintenant. ». Comédien Revenant à ses premières amours, au début du xxie siècle Julos Beaucarne interprète au cinéma le « père Jacques » dans Le Mystère de la chambre jaune et Le Parfum de la dame en noir. En 2012, il joue le rôle du père de Prudence dans Associés contre le crime de Pascal Thomas, avec Catherine Frot et André Dussollier. Wikipédia

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