PHI-PHI / CHRISTINÉ

PHI-PHI / CHRISTINÉ

R269
8,00 €
TTC
1 CD - 19 TITRES / PHI-PHI de HERVÉ CHRISTINÉ (extraits) / LA ROUTE FLEURIE de FRANCIS LOPEZ (extraits). AVEC BOURVIL & GEORGES GUÉTARY / ANTHOLOGIE DE L'OPÉRETTE

VOUS RECEVREZ UN BON D'ACHAT 10% À PARTIR DE 40 € DE COMMANDE

 
PHI-PHI

Opérette legère en 3 actes   
(version abrégée)
Musique Henri Christiné
Livret de Albert Willemetz & Fabien Sollar
Adaptation Pierre Hiegel
 
Mr. Phidias (Phi-Phi)       Bourvil
Me. Phidias                     Germaine Roger
Aspasie                           Gise Mey
Ardimédon                       Gaston Rey
Le Pirée                           Rogers
Périclès                            Louisard
Chœur de Femmes et OrchestreDirection Marcel Cariven
 

En supplément de programme

LA ROUTE FLEURIE (extraits)
Opérette en 2 actes et 12 tableaux
Musique de Francis Lopez
Livret de Raymond Vinci
Distribution
Jean-Pierre       Georges Guétary
Raphaël             Bourvil

 

Le CD

PHI-PHI

 
1 Ouverture                      4’34’’
Acte I
2 Oui nous sommes les petits modèles…     (chœur)      1’43’’
3 Couplets Quand je croisais l’autre soir                      2’57’’
4 Valse Je connais toutes les historiettes (Aspasie)     3’05’’
5 Finale et couplets Hélas faut-il si tôt …                         6’23’’
(Phidias, Le Pirée, Ardimédon, un Modèle & Chœur)
 
Acte II
6 Couplets Ah ! cher monsieur, excusez-moi (Aspasie)         2’49’’
7 Prière à Pallas O Pallas Athéné combien cela me coûte…    3’57’’
(Me Phidias)
8 Valse et Finale Ah ! tais-toi, tais-toi tu m’affoles                  2’40’’
(Me Phidias)
9 Chœurs Le procédé vraiment nouveau…                                3’48’’
(Les Modèles, Le Pirée)
 
Acte III
10 Couplets Mon cher Phi-Phi, si cela t’intéresse (Aspasie)            3’55’’
11 Chanson des Païens Blanches rondeurs aux contours délicieux3’15’’
(Phidias)
12 Quintette Pour être heureux…                               1’33’’
(Me Phidias, Aspasie, Ardimédon, Phidias, Périclès)
13 Final Aspasie et moi Périclès                              1’08’’
(Me Phidias, Ardimédon, , Le Pirée)

LA ROUTE FLEURIE
 
14 On est poète…                  (Raphaël)                            2’15’’
15 C’est la vie de bohème  (Jean-Pierre, Raphaël)       2’49’’
16 Les haricots…                   (Raphaël)                            3‘02’’
17 Madagascar…                   (Raphaël)                            3‘03’’
18 Copains, copains…           (Jean-Pierre, Raphaël)        2’32’’
19 Pas de chance…               (Raphaël)                            2‘55’’
 

Les arguments

PHI-PHI
L’action se passe dans l’atelier de Phidias, 600 ans avant Jésus-Christ.
Le sculpteur Phidias (Phi-Phi) a reçu de l’Etat la commande d’une
grande statue représentant  « L’amour et la Vertu »… Comme modèle il choisit Aspasie, une  gamine qu’il a rencontrée dans les rues d’Athènes. La jeune fille vient lui rendre visite. Il la trouve tellement attirante qu’il s’empresse de lui faire une cour empressée, très empressée même.
Madame Phidias jalouse non sans raison, lui fait des remarques désobligeantes et renvoie Aspasie. Madame Phidias, qui est, de son côté, courtisée par un beau jeune homme, le Prince Ardimédon, décide de poser elle-même pour la Vertu. Phidias, charmé par le bel Ardimédon qu'il vient de rencontrer, le choisit comme modèle de l'Amour, bien qu'il trouve que sa femme et Ardimédon manquent de naturel.
Le lendemain, quand Phidias qui a passé la nuit avec Aspasie, « gamine charmante », découvre sa femme dans les bras d'Ardimédon, le sculpteur trouve admirable le groupe que forment l'Amour et la Vertu. La jeune Aspasie a eu, quant à elle, le temps de séduire le maître de la Grèce, Périclès, qui veut l'épouser. Périclès demande à Phidias d'intégrer Aspasie au bloc sculptural, pour lequel posent Madame Phidias et Ardimédon. Phidias acquiesce. La statue sera désormais L'Amour et la Vertu, aidés par l'Économie, fondent le bonheur conjugal.
 
LA ROUTE FLEURIE
À Montmartre. Place du Tertre, Jean-Pierre, compositeur de musique, Raphaël, poète raté et peintre méconnu, Lorette, son modèle favori, sont trois amis insouciants, bohèmes, joyeux, qui mettent en commun leurs ressources. Un producteur (Bonnardel) est enthousiasmé par la musique d’une opérette composée par Jean-Pierre. Dès qu’un scénario original lui sera présenté, il versera une confortable avance. Raphaël, pour sa part, songe surtout à déclarer sa flamme à Lorette. En cette belle matinée de juin il retrouve Lorette et Raphaël, ses amis d’enfance, et est présentée à Jean-Pierre. E, voyant Mimi, le jeune homme comprend qu’il vient de rencontrer la femme de sa vie. Mimi, de son côté, n’est pas insensible au charme de Jean-Pierre…. Jean-Pierre décide Mimi, Lorette et Raphaël à partir en vacances avec lui sur la côte d’Azur. Nos quatre héros peuvent maintenant prendre « la route fleurie », qui les mènera sur les bords de la Méditerranée. À Antibes, Gustave, le majordome, a eu la même idée que le neveu de sa patronne. Il a loué la villa à Rita et Poupoutzoff qui arrivent successivement !... Puis survient Bonnardel… l’atmosphère devient orageuse. Bonnardel, qui dans le fond n’est pas un mauvais bougre, demande à Jean-Pierre de s’expliquer. Le jeune homme lui raconte leurs aventures. Bonnardel est enthousiasmé : leur histoire fera un excellent scénario. Il l’achète immédiatement. Mimi, Lorette et Rita seront les vedettes du film La route fleurie, qui en sera tiré. Et cette histoire se terminera par un triple mariage : Jean-Pierre et Mimi, Raphaël et Lorette, Bonnardel et Rita


Henri Christiné
Avant la Première Guerre mondiale, Christiné écrit de nombreuses chansonnettes pour Harry Fragson (Je connais une blondeReviens), MayolPolin, ou encore Yvonne Printemps. Il est également chef d'orchestre à L'Européen, le music-hall de la place Clichy. Selon l'article de Pierre Chapelle dans Le Cornet (1922, cf. source), Christiné « aurait débuté brillamment dans la pédagogie à 90 francs par mois, après de fortes humanités ».
Sa carrière prend un tournant après la guerre grâce au succès phénoménal de son opérette Phi-Phi, créée le lendemain même de l'Armistice, sur des textes d'Albert Willemetz et Fabien Sollar, et qui se joue sans interruption trois ans durant au Théâtre des Bouffes-Parisiens. Elle est suivie d'autres succès comme Dédé(1921), avec Maurice ChevalierMadame (1923) ou encore J'adore ça (1925) qui lui valent une réputation internationale.
Éditeur, il publie les premières chansons de Vincent Scotto (dont il réécrit également les paroles de La Petite Tonkinoise3). Dans la vie faut pas s'en faire (1921) et Valentine (1925), chantées par Maurice Chevalier, compte parmi ses plus grands succès.


Opérettes
[

Doc Wkipédia

 

 
Henri Christiné Avant la Première Guerre mondiale, Christiné écrit de nombreuses chansonnettes pour Harry Fragson (Je connais une blonde, Reviens), Mayol, Polin, ou encore Yvonne Printemps. Il est également chef d'orchestre à L'Européen, le music-hall de la place Clichy. Selon l'article de Pierre Chapelle dans Le Cornet (1922, cf. source), Christiné « aurait débuté brillamment dans la pédagogie à 90 francs par mois, après de fortes humanités ». Sa carrière prend un tournant après la guerre grâce au succès phénoménal de son opérette Phi-Phi, créée le lendemain même de l'Armistice, sur des textes d'Albert Willemetz et Fabien Sollar, et qui se joue sans interruption trois ans durant au Théâtre des Bouffes-Parisiens. Elle est suivie d'autres succès comme Dédé(1921), avec Maurice Chevalier, Madame (1923) ou encore J'adore ça (1925) qui lui valent une réputation internationale. Éditeur, il publie les premières chansons de Vincent Scotto (dont il réécrit également les paroles de La Petite Tonkinoise3). Dans la vie faut pas s'en faire (1921) et Valentine (1925), chantées par Maurice Chevalier, compte parmi ses plus grands succès. Opérettes[ • 1903 : Service d'amour • 1904 : Mam'zelle Chichi • 1907 : Les Vierges du harem • 1908 : Cinq minutes d'amour • 1918 : Phi-Phi • 1921 : Dédé • 1923 : Madame, opérette d'Albert Willemetz, musique Henri Christiné, Théâtre Daunou • 1925 : J'adore ça comédie musicale en 3 actes d'Albert Willemetz et Saint-Granier, musique Henri Christiné, Théâtre Daunou • 1925 : PLM • 1927 : J'aime, opérette en trois actes d'Albert Willemetz et Saint-Granier, musique d'Henri Christiné aux Bouffes-Parisiens4. • 1929 : Arthur d'André Barde, musique Henri Christiné, Théâtre Daunou • 1931 : Encore cinquante centimes (avec Maurice Yvain) • 1932 : Robinson Crusoé • 1933 : La Madone du promenoir ; L'Affaire Brocs • 1934 : Le Bonheur, mesdames ! ; Au temps des Merveilleuses (avec Tiarko Richepin) • 1934 : La Poule ; Yana (avec Tiarko Richepin) • 1938 : Le Flirt ambulant Doc Wkipédia

Les clients qui ont acheté ce produit ont également acheté...

Product added to wishlist