LES DRAGONS DE VILLARS / MAILLART
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LES DRAGONS DE VILLARS / MAILLART

R288
10,00 €
TTC
2 CD / LES DRAGONS DE VILLARS / OPÉRA-COMIQUE DE LOUIS-AIMÉ MAILLART / AVEC SUZANNE LAFAYE, ANDRÉE ESPOSITO ANDRÉ MALLABRERA / DIRECTION ORCHESTRE RICHARD BLAREAU

 

LES DRAGONS DE VILLARS

Opéra-comique en trois actes

Musique de Louis-Aimé Maillart

Livret de Lockroy et Eugène Cormon

L'histoire aurait été inspirée de La Petite Fadette par George Sand. 

Adaptation et réalisation de Max de Rieux

 Avec

Pierre Héral                      Thibault           Riche fermier              (ténor)

Andrée Esposito              Georgette       Son épouse                (sopano)

Suzanne Lafaye               Rose Friquet   Pauvre paysanne       (ténor)

André Mallabrera             Sylvain            Laboureur                   (ténor)

Pierre Heral                      Thibault           Laboureur                   (ténor)

Julien Haas                      Belamy           Sergent                       (baryton)

Et Berger, un Lieutenant, un Dragon

Direction Orchestre et Chœurs Richard Blareau

Première représentation à Paris Théâtre-Lyrique National 1856

CD1

1 Ouverture

ACTE I

2 C'est le temps des beaux jours...         (Georgette)

3 Ne vous montrez pas, femmes...         (Thibault)

4 Bouchonnes, mon fils...                        (Belamy)

5 Dialogue

6 Maître Thibault vos mules...                 (Rose)

7 Dialogue

8 Ne parles pas, Rose...                          (Sylvain)

9 Dialogue

10 Allons, ma chère, un dernier verre... (Rose - Belamy)

11 Dialogue

12 Grâce à ce vilain ermite...                  (Ermite)

13 Arrêtez, sur ce pays... final                 (Belamy)

CD2

ACTE II

1 Proscrits, c'est l'espérance...               (Sylvain)

2 Dialogue

3 On ne m'avait jamais dit ça ...               (Rose - Sylvain)

4 Dialogue

5 C'est là voilà...                                      (Georgette - Belamy - Rose)

6 Dialogue                             

 ACTE III

7 Introduction et dialogue

8 Espoir charmant...                                (Rose)

9 Allons, la belle fiancée...                         (Chœurs et Tous)

10 Sonne, sonne toujours... Final          

La pièce a d'abord été présentée au directeur de l'Opéra-Comique, Émile Perrin, qui l'a trouvée trop sombre, même après avoir entendu certains morceaux joués par le compositeur. Elle a ensuite été proposée aux frères Seveste, au Théâtre-Lyrique, qui l'ont également rejetée, de même que leur successeur Pierre Pellegrin. Quelques années plus tard, les auteurs ont rencontré Léon Carvalho, qui venait de prendre la direction du Théâtre-Lyrique, et qui a accepté l’œuvre sur le champ.

La première des dragons de Villars a été un succès. La pièce a marqué les débuts de Juliette Borghèse, dans le rôle de Rose Friquet. L'opéra-comique, qui sera joué 153 fois au Théâtre Lyrique en 1863 est devenu populaire dans toute l'Europe, ainsi il a été mis en scène à la Nouvelle-Orléans (1859) et New York (1868).  Remontée à l'Opéra-Comique , en 1868, elle atteint 377 représentations au théâtre en 1917. Une production a également été montée au Théâtre de la Porte Saint-Martin à Paris le 3 juin 1935. Mahler a dirigé la pièce à Budapest en 1888, et Furtwängler la dirigea à Strasbourg en 1910. L'ouvrage a été dans le répertoire de l'Opéra de la Monnaie à Bruxelles à partir de 1942 et jusqu'en 1953. Plus récemment, elle a été mise en scène en 1986 à Montpellier.

Synopsis

 Rose Friquet, jeune paysanne provençale rejetée à cause de ses manières bizarres, cache une excellente nature généreuse sous ses dehors singuliers. Grâce à elle, de malheureux proscrits peuvent sortir d'une caverne des monts de l'Estérel, où ils s'étaient réfugiés, et peuvent rejoindre la Savoie. Elle arrive à sauver le fermier Thibaud d'une infortune conjugale et inspire un amour sincère au jeune villageois Sylvain, qui finit par l'épouser



 

 

Louis-Aimé MAILLART

 

Compositeur français née 24 mars 1817 à Montpellier et mort le 26 mai 1871 à Moulins. Il est célèbre pour ses opéras, en particulier Les Dragons de Villars (1856) et Lara (1864).

Biographie

Louis-Aimé Maillart naît en 1817 à Montpellier (Hérault). Il entre en 1833 au Conservatoire de Paris et suit les cours de violon auprès de Paul Guérin. Il étudie l'harmonie et la composition avec Aimé LeborneJacques Fromental Halévy, et Antoine Elwart. Il remporte le Prix de Rome en 1841 avec la cantate Lionel Foscari. S'ensuivent trois années en Italie. Puis il rentre en France et présentera six opéras à Paris.

Gastibelza ou le Fou de Tolède, opéra en trois actes d'après Hugo, est créé le 15 novembre 1847 à l'initiative d'Adolphe Adam pour l'ouverture du Théâtre-National (plus tard Théâtre-Lyrique). Ni le livret ni l'interprétation ne semblait prévoir le succès qu'il connaîtra. En 1849, il présente Le Moulin des tilleuls, opéra en un acte. La première a lieu le 9 novembre à l'Opéra-Comique qui accueillera trois ans plus tard la Croix-de-Marie. Son opéra le plus célèbre reste Les Dragons de Villars dont la première fut donnée au Théâtre Lyrique le 19 septembre 1856.

Malgré la reconnaissance de son talent de mélodiste et l'enthousiasme du public, deux opéras semblent perdus : Les Pêcheurs de Catane (19 décembre 1860, Théâtre-Lyrique) et Lara (21 mars 1864, Opéra-Comique), dont le héros éponyme vient du poème homonyme de Lord Byron. Il se retire de Paris en 1870 à l'arrivée des troupes allemandes et meurt l'année suivante à Moulins (Allier) à l'âge de cinquante-quatre ans.

Il est enterré au Cimetière de Montmartre dans la 5e division, la tombe est visible en bas de l'avenue Cordier. Il repose avec son frère, Adolphe Maillart, (1810-1891), Sociétaire de la Comédie Française, Adrienne-Virginie Chaillou, (1812-1898), l'épouse d'Adolphe Maillart, son père, Auguste Maillart, (1777-1857), sa mère, Didionette Perrot, (17833-1854), et autres membres de la famille.

Louis-Aimé Maillart est reconnu pour son talent de mélodiste, et sa force à enthousiasmer un large public dépassant les frontières françaises : sa musique a été aussi jouée en Allemagne (Das Glöckchen des Eremiten) et à New York. Il laisse derrière lui six opéras, trois cantates et des messes.

 

Opéras

  • Gastilbelza ou le Fou de Tolède (1847)
  • Le Moulin des Tilleuls (1849)
  • La Croix de Marie (1852)
  • Les Dragons de Villars (1856)
  • Les Pêcheurs de Catane (1860)
  • Lara (1864)

 

 

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