MICHEL BOUTET / LA BALLADE DE...

MICHEL BOUTET / LA BALLADE DE JEAN-GUY DOUCEUR

BOUT 1
15,00 €
TTC
1 CD - 12 TITRES / ALBUM 2009

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« Rien à jeter dans ce disque. Des histoires toutes de limpidité, de simplicité poétique, le plus difficile, et de délicatesse orchestrale. Un album de haute volée à happer sans faute au passage. »

(Fred Hidalgo – Si ça vous chante)

 

  1. Les gardes-barrières (Michel Boutet)                                               4’33
  2. Nambou ( Michel Boutet)                                                                 3’59
  3. Boulevard de monte-à-regret (Michel Boutet – Félix Blanchard)    2’53
  4. Dans la Basse Nantes (Michel Boutet – Patrick Couton)                  3’00
  5. La caisse et la postérité (Pascal Aussi)                                             2’52
  6. Jean-Guy Douceur (Michel Boutet – Patrick Couton)                      3’22
  7. Mayence (Michel Boutet)                                                                 4’22
  8. Putain de maréchal (Michel Boutet)                                                6’40
  9. L’accordéon qui joue dans Amsterdam (Michel Boutet)                 5’05
  10. Perdu d’avance (Michel Boutet)                                                       4’34
  11. Chanson peu académique (Michel Boutet)                                      3’30
  12. La java niaise (morceau gâché) (Michel Boutet)                              0’10

 

Chanteur, comédien et raconteur, Michel Boutet a le mot juste et la plume exercée. Amoureux de notre belle langue, observateur et souvent amusé de ce qui nous entoure, il nous raconte des «histoires vraies qui auraient pu arriver». Qu’il chante ou qu’il raconte, la ballade est garantie. Je suis né en Poitou, au hasard, au milieu d’un siècle qui valait le détour. On était pauvre dans ce temps-là, c’est pourquoi on écoutait Radio-Luxembourg, où d’autres pauvres gagnaient de l’argent grâce à des jeux intelligents. MichelBoutet(enpieds)©P.Micheau On était si pauvres qu’on n’est jamais allés à Lourdes. Pour nous consoler, ma mère chantait des airs de Berthe Sylva. Plus tard, j’ai fait chanteur de chansons tristes pour faire plaisir à ma famille. Le temps a passé. Ma tante, celle qui a traversé la route départementale à l’occasion de son mariage, m’a demandé des nouvelles de ma carrière, l’autre jour. Elle a bien fait : il y a longtemps qu’on n’avait pas ri ensemble. Puis elle a parlé d’elle… Longtemps… Ça a mangé un bon bout de la nuit. Il faut dire que son historie valait aussi son pesant de cacahuètes, son kilo de chagrin, et tout un quintal d’amour. Quand elle s’est tue, Léo l’Espagnol, Maryse Bouvier, la fille à Bouvier, Abel Palard et les autres en ont profité pour envahir le silence.

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