LA VEUVE JOYEUSE / LEHAR

LA VEUVE JOYEUSE / LEHAR

R263
8,00 €
TTC
1 CD / LA VEUVE JOYEUSE (extraits) / OPÉRETTE DE FRANZ LEHAR / AVEC RENÉE DORIA - ANDREA GUIOT - LUCIEN HUBERTY / ORCHESTRE MARCEL CARIVEN / ANTHOLOGIE DE L'OPÉRETTE

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LA VEUVE JOYEUSE Opérette (Extaits)
Opérette en trois actes
Livret original de Victor et Stein (d’après Meilhac)
Adaptation française de Flers & Caillavet
Enregistré en 1956
 
Acte I
1 Prélude                                                                 1’18’’
Nous sommes seules… Nadia - Camille               2’46’’
3 Entrée de Missia                                                  3’09’’
4 Entrée de Danilo                                                  1’54’’
Cotillon, c’est l’heure du cotillon… et final           9’06’’
 
Acte II
6 Jadis habitait dans le grand bois… Vilya              5’59’’
Introduction & danse
Hélas ma belle, regarde…. Duo du cavalier         2’51’’
8 Marche – septuor                                                2’42’’
Viens dans ce joli pavillon… Nadia – Camille      2’34’’
10 Mon Dieu, qu’est-ce que l’on nous veut… final  9’54’’
 
Acte III
11 Heure exquise qui nous grise… Missia – Danilo 3’21’’
 
Distribution

Missia Palmieri                     Renée Doria (soprano)
Nadia                                    Andrea Guiot (soprano)
Prince Danilo                        Lucien Huberty (baryton)
Camille de Coutançon          François Gatto (ténor)
D’Estillac                               Maurice Faure (baryton
Baron Popoff                         Henri Bedex
Lérida                                    André Daumas (ténor)
Figg                                       René Herent (ténor)
Kromtsky                               Daniel Marty (baryton)
Bogdanowitch                       Jacques Pottier (ténor)
Pristitch                                 Gérard Bourrelli (basse)

Synopsie

Acte I
Les salons de l’ambassade de Moldavie à Paris.
Lors de la réception donnée pour la fête du souverain moldave, Missa Palmieri est le point de mire de tous les coureurs de dote. Le baron Popoff, ambassadeur de Moldavie est là pour empêcher son mariage avec un étranger. En effet, la fortune de la jeune veuve constitue la quasi totalité de l’actif de la banque moldave et si elle s’avisait de la retirer, ce serait la faillite. Il a décidé de lui faire épouser le prince Danilo (baryton). Les jeunes gens se retrou­vent, toujours épris l’un de l’autre, mais avec entre eux une fortune après laquelle le jeune prince ne veut en aucun prix avoir l’air de courir. Danilo accepte d’aider Popoff à écarter les prétendants indésirables. De son côté Camille de Coutençon, lieutenant des chasseurs, fait une cour pressante à Nadia, femme de Popoff, laquelle se défend d’un penchant réciproque en répétant à tout propos qu’elle est “une honnête femme”, tout en manifestant une féroce jalousie dès que le jeune homme approche une autre femme
.
Acte II
Chez Missia Palmieri
La veuve a organisé une garden-party à l’occasion de l’anniversaire du prince régnant. Danilo poursuit la tâche confiée par Popoff et Missia lui reproche d’écarter les prétendants par jalousie. Coutençon entraîne Nadia dans un joli pavillon. Popoff regardant par le trou de la serrure, croit reconnaître sa femme. La catastrophe est évitée grâce à Figg, qui substitue Missia à Nadia. Popoff fait ouvrir la porte. Il est ravi d’avoir mal vu. En revanche, Danilo est furieux, d’autant que Missia annonce son prochain mariage.
 
Acte III
Chez Maxim’s.
 
Danilo cherche l’oubli parmi les femmes faciles. Popoff vient le relancer pour sauver sa patrie en ruine. Missia arrive et lui dit la vérité sur l’affaire du pavillon. Elle ajoute que le testament de feu son mari stipule que si elle se remarie elle perdra sa fortune. Danilo la demande en mariage. Elle y consent, mais précise que la fortune perdue ira à son nouveau mari. Trop tard. Les deux jeunes gens sont unis pour le meilleur. Popoff apprend que sa femme était bien dans le pavillon, mais se rassure en voyant qu’elle a écrit “je suis une honnête femme” sur l’éventail donné en souvenir à Coutançon.
 
 
Franz LEHAR

Franz Lehár est né le 30 avril 1870 à Komarno (komarom) en Autriche-Hongrie, son père est le chef de la fanfare de l’armée. Sa langue maternelle est le hongrois mais Franz devient bilingue très tôt et ses compétences linguistiques lui ont également permis d’apprendre d’autres langues. Franz Lehár étudie d’abord le piano. Son talent se révèle très tôt. À 11 ans, il compose sa première chanson. En 1880, son père est transféré à Budapest et Lehár entre au conservatoire de Prague et étudie le violon, la composition musicale (avec Dvorak) et la théorie musicale. 
Il commence sa carrière musicale en tant que musicien d’orchestre, à Vienne, joue dans l’orchestre de son père et, montant petit à petit les échelons, il en devient son successeur. Il est ensuite à Pula, Trieste et Vienne. Dès ses deux premières compositions, Wiener Frauen et Der Rastelbinder, il est considéré le futur maître de l’opérette. Avec le succès mondial de La veuve Joyeuse sa notoriété ne fait qu’augmenter… 
Au fil des ans, Lehár a acquis une fortune prodigieuse. Il achète une vaste demeure à Vienne et une villa à Bad Ischl, une importante station thermale. Les relations de Franz Lehár avec le régime nazi sont tendues. Il a toujours utilisé des librettistes juifs pour ses opéras et a fait partie du milieu culturel viennois, qui comprenait de nombreux juifs. En outre, bien que Lehár soit catholique, son épouse Sophie est d’origine juive mais convertie au catholicisme. En 1943, Lehár est cependant autorisé à se rendre avec sa femme en Suisse. Il souffre de problèmes biliaires, rénaux, glandulaires et oculaires et de pneumonie. Il passera les derniers mois de la guerre à Bad Ischl  où il restera après la mort de sa femme, jusqu’en 1948, année de son décès…

ŒUVRES LYRIQUES
Extrait : titres français
 
Le Réparateur de chaudrons     1902
Le Mari idéal                               1904
Mariage pour rire                        1904 
La Veuve joyeuse                       1905
Taliana                                        1906
Le Comte de Luxembourg          1909
L’Amour tzigane                          1909
Le pays du sourire                      1923
La Tsarévich                                1927 
 
Franz LEHAR Franz Lehár est né le 30 avril 1870 à Komarno (komarom) en Autriche-Hongrie, son père est le chef de la fanfare de l’armée. Sa langue maternelle est le hongrois mais Franz devient bilingue très tôt et ses compétences linguistiques lui ont également permis de bien comprendre rapidement d’autres langues. Franz Lehár étudie d’abord le piano. Son talent se révèle très tôt. À 11 ans, il compose sa première chanson. En 1880, son père est transféré à Budapest et Lehár entre au conservatoire de Prague et étudie le violon, la composition musicale (avec Dvorak) et la théorie musicale. Lehár commence sa carrière musicale en tant que musicien d’orchestre, à Vienne, il joue dans l’orchestre de son père et, montant petit à petit les échelons, il en devient son successeur. Il est ensuite Pula, Trieste et Vienne. Dès ses deux premières compositions, Wiener Frauen et Der Rastelbinder, il est considéré le futur maître de l’opérette. Avec le succès mondial de La veuve Joyeuse sa notoriété ne fait qu’augmenter, Au fil des ans, Lehár a acquis une fortune prodigieuse. Il achète une vaste demeure à Vienne et une villa à Bad Ischl, une importante station thermale. Les relations de Franz Lehár avec le régime nazi sont tendues. Il a toujours utilisé des librettistes juifs pour ses opéras et a fait partie du milieu culturel viennois, qui comprenait de nombreux juifs. En outre, bien que Lehár soit catholique, son épouse Sophie est d’origine juive mais convertie au catholicisme. En 1943, Lehár est cependant autorisé à se rendre avec sa femme en Suisse. Il souffre de problèmes biliaires, rénaux, glandulaires et oculaires et de pneumonie. Il passera les derniers mois de la guerre à Bad Ischl où il restera après la mort de sa femme, jusqu’en 1948, année de son décès… ŒUVRES LYRIQUES Extrait : titres français Le Réparateur de chaudrons 1902 Le Mari idéal 1904 Mariage pour rire 1904 La Veuve joyeuse 1905 Taliana 1906 Le Comte de Luxembourg 1909 L’Amour tzigane 1909 Le pays du sourire 1923 La Tsarévich 1927

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