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Léo MARJANE / SEULE CE SOIR

Léo MARJANE / SEULE CE SOIR

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Léo MARJANE / TOUS SES SUCCÈS / 1 CD collection ROUGE & NOIR

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CD
 
1 La chapelle au clair de lune
Varna – Lelièvre / Hill
 
2 En septembre sous la pluie 
Larue / Warren
 
3 Un soir et puis toujours
T. Powell / A. Hornez
 
4 Seule ce soir
Noël – Casanova / Durand
 
5 Attends-moi mon amour   3’11’’
Larue / Siniavine
 
6 Mon ange    3’10’’        
Feline / B. Coquatrix
 
7 Mon secret d’amour    3’28’’ 
du film Calamity Jane
S. Fain / M. François
 
8 Sérénade portugaise      2’34’’     
Ch. Trénet / Ch. Trénet
 
9 Fascination    3’06’’  
De Feraudy / Marchetti
 
10 Music, maestro please     2’56’’  
Bayle / Wrubel
 
11 Divine biguine     3’02’’ 
Henneve – Palex /Porter
 
12 L’âme au diable   2’00’’ 
du film Feu Nicolas
L. Gasté / J. Larue
 
13 L’arc en ciel          3’23’’ 
du film Le magicien d’Oz
Cab / Arlen
 
14 Le refrain de la pluie      3’18’’  
Larue / Monaco
 
15 La valse au village           2’45’’ 
V. Rose / L. Stock – L Poterat
 
16 C’est la barque du rêve  3’11’’ 
C. FVriend – D. Franklin / L. Hennevé – Palex
 
17 Soir indigo     2’44’’
P. De Rose / P. Misraki
 
18 Je veux te dire adieu       3’06’’ 
G. Bécaud / Ch. Aznavour
 
19 La légende du troubadour    2’56’’
Louiguy / J. Larue
 
20 Souvenances     3’05’    
Lemarchand / Lane
 
21 Sentimentale       3’13’’  
Solar / Hess
 
22 Bonjour Tommy               2’53’   
Nohain - Caron / Moretti
 
23 Bei mir bist du shön        2’47’’
J. Jacob – Chaplin – J. Larue / S. Secunda – S. Cahn
 
24 It ‘s a long way to tipperary      2’32’’  
Suzelin – Judge / William
 
LÉO MARJANE
Née à Boulogne-sur-mer où elle passe ses premières années avant de suivre son père diplomate qui s’installe en Rhénanie. Elle vit ensuite en Allemagne puis en Autriche, prend des cours de piano et de violon et, après la mort de son père, suit sa famille à Marseille. Elle rêve d’être écuyère (elle adore les chevaux), avocate, mais aussi chanteuse et compte-tenu de sa voix de contralto elle choisit le music-hall et fait ses débuts à l’Alcazar de Marseille. À 19 ans elle épouse le chanteur Raymond Gérard, qu’elle suit en tournée. De retour à Paris elle adopte le nom d’artiste de Léo Marjane et se produit dans différents cabarets Bobino, l’ABC, chez O’dett… Elle se fait vite remarquer par sa voix chaude et envoutante, sa diction parfaite, son phrasé moderne et à l’initiative de Jean Bérard (directeur artistique) enregistre ses premiers disques chez Pathé-Columbia. Le succès arrive vite avec La Chapelle au clair de lune, En septembre sous la pluie … Elle part en tournée dans le monde entier et notamment aux Etats-Unis où elle reste 5 ans et découvre le jazz. De retour en France elle enregistre une version de Begin the beguine qui sera un de ses grands succès avec Seule ce soir. C’est dans son cabaret L’Écrin qu’elle interprète Bei mir bist du shön dont vous trouverez une version en français dans ce disque
 
Chanteuse populaire et réaliste française Bien que son nom ne soit plus tout à fait aussi connu, aujourd'hui, que ceux de Maurice Chevalier, d'Edith Piaf ou de Jean Sablon, Léo Marjane reste l'une des rares chanteuses françaises à avoir fait une véritable carrière aux Etats-Unis où elle remportera "l'Oscar de la Télévision Américaine" et finira par être considérée comme un "parfait crooner féminin" ; étiquette d'autant plus flatteuse que le genre semblait être, jusqu'alors, le domaine réservé d'artistes exclusivement masculins. Au vrai, si l'Amérique a tant aimé la belle Marjane, cela n'était qu'un juste retour de choses ; car celle-ci fut l'une des meilleures ambassadrices qu'ait jamais connue la chanson américaine de ce côté-ci de l'Atlantique. Dès son premier disque, en effet - daté de septembre 1937, alors qu'elle n'a guère que dix-neuf ans - la couleur est annoncée, avec deux adaptations aussi fidèles que réussies de "Chapel In The Moonlight (La chapelle au clair de lune)" et de "September In The Rain (En septembre sous la pluie)". Viendront ensuite, au fil des ans "L'arc en ciel" (le formidable "Over The Rainbow" que chantait Judy Garland dans "Le magicien d'Oz"), "Divine Biguine", d'après "Begin The Beguine" de Cole Porter, "C'est la barque du rêve (When My Dream Boat Comes Home)", "Un soir... Et puis toujours (Goodnight, Sweet Dreams, Goodnight)", "Soir indigo (Deep Blue)", "Simplement, doucement (Heart and Soul)", "Deux voix dans l'ombre (South Of The Border)", et bien d'autres succès de la même veine, qu'elle interprète sans jamais omettre cette petite touche bluesy qui, dans ce registre, est la marque de la véritable authenticité. Avec la guerre et la débâcle éclair de l'armée française, en juin 1940, le répertoire de Léo Marjane adopte soudain un ton nouveau. Dans un premier temps, la chanteuse épouse les préoccupations de ces innombrables veuves et femmes de prisonniers, pour qui la vie n'est plus qu'une longue solitude ("Seule ce soir") ; mais, bientôt, dans son cabaret de "L'Ecrin", où elle se produit chaque soir, elle adapte peu à peu son tour de chant aux goûts de ce public en uniformes vert-de-gris qui - repos du guerrier oblige - vient se délecter des mirages du gay Paris, et pour lequel elle chante "Bei mir bist du schôn". Une attitude qui lui vaudra de sérieux ennuis à la Libération. Pour échapper à ces tracasseries - qui, pour certains artistes se traduiront par de lourdes interdictions professionnelles - Marjane se tourne alors vers les Etats-Unis, où elle se réfugie pour une longue tournée de plus de cinq ans, en attendant que les choses se tassent un peu. Rentrée en France vers la fin de l'année 49, elle ne retrouvera jamais tout à fait les faveurs du public ; car, avec l'arrivée des GI's à Paris et la soudaine passion du public français pour le jazz, elle n'a plus l'exclusivité du "style américain". Si bien que - devenue baronne par mariage - elle choisira d'interrompre volontairement sa carrière pour se consacrer à l'élevage des chevaux. Marc ROBINE Biographie Enfance et adolescence Thérèse Gendebien a deux ans lorsque sa famille dont le père est diplomate s’installe en Rhénanie. Elle passe son enfance en Allemagne, puis en Autriche. Elle a six ans lorsque son père meurt. Elle prend des cours de violon et de piano au conservatoire de Vienne. Sa famille habite ensuite à Marseille. Elle rêve de devenir écuyère, et l’amour des chevaux ne la quittera jamais, mais c’est sur les planches qu’elle monte très tôt. « Je crois avoir toujours chanté, petite fille, je chantais devant les miroirs en faisant des grimaces à mon image4 ». Avec sa voix de contralto, on l’avertit qu’à l’opéra peu de rôles existent. Pensant que c’était insuffisant pour vivre, elle se tourne vers le music-hall. À quinze ans, elle triomphe au concours Artistica à l’Alcazar de Marseille et à seize ans, sous le nom de Rita Karoly, elle forme un duo avec un chanteur en interprétant des chansons fantaisistes. Mais son premier désir était de devenir avocate6. Il est plus vraisemblable qu'ainsi elle évite de parler de sa première partie de carrière sous le nom de Rita Karoli où elle faisait des numéros de danse et d'acrobatie, ce qu'elle nia jusqu'à ses cent ans : avocate, pas acrobate. Cette coquetterie amusait beaucoup les Marseillais qui avaient assisté à ses débuts au music-hall. Premiers succès à la scène À 25 ans, le 20 mars 1938 à Marseille elle épouse le chanteur Raymondey (Raymond Gérard)7. En 1932, elle chante au Caire, au cabaret Le Perroquet puis, de retour à Paris, à l’Alhambra l’année suivante, et au Petit Casino en 1934. Elle adopte alors le nom d’artiste de Léo Marjane « Marjane était la compression de Marie-Jeanne, » puis accompagne son époux à Paris, où elle se produit à Bobino, à l’ABC et chez O'dett en 1931. Elle se fait remarquer par sa voix chaude et envoûtante de contralto, et par sa diction parfaite, au phrasé très moderne. Il est permis de penser que le prénom Léo est l'abréviation de Léonie. Mais les versions provenant de l’intéressée divergent d'une interview à l'autre. Premiers enregistrements). Dès 1931, après des essais d’enregistrement infructueux chez Gramophone, elle grave ses deux premières plages pour Columbia, Les Prisons et Paris-Noël. Elle enregistre ensuite C'est la barque du rêve (1936), La Chapelle au clair de lune - In the Chapel in the Moonlight (en) (1937), son premier grand succès. Cette chanson la propulse au devant de la scène, et c’est Jean Bérard, à l’époque directeur de Marconi qui la rappelle à Paris d’urgence, alors qu’elle se trouve en tournée au Brésil avec sa mère. Elle rentre pour enregistrer Begin the Beguine et Night and Day (1938), pour Pathé-Marconi8, et entame une grande carrière à la scène. Léo Marjane considère que sa discographie démarre réellement avec la Chapelle, balayant les deux premiers 78 tours d'un lapidaire : « ce n'étaient que des essais de voix ». Elle reste volontairement imprécise sur la période 1932-37, indiquant simplement « avoir vécu sa vie » lors d’une interview sur France Culture en septembre 2012. Au cours de l’enregistrement d’un disque au Studio Cognac Jay, elle a l’idée d’amortir certaines syllabes en couvrant le micro de son bas de soie : un procédé si efficace qu’il est encore utilisé de nos jours. Les États-Unis Elle met ensuite le cap sur les États-Unis et sillonne le pays pendant cinq ans. Elle est une des rares chanteuses françaises à interpréter des adaptations d’œuvres de compositeurs américains comme Harold Arlen, Hoagy Carmichael, Sam Coslow, Jimmy McHugh, Cole Porter, Jimmy Van Heusen, Harry Warren, Allie Wrubel et Duke Ellington. « Je peux dire que j’ai introduit le jazz en France. Dans les années trente, nous étions, Jean Sablon, Jacqueline François et moi, les trois artistes français qui venions chaque année chanter aux États-Unis, où chaque hôtel avait son cabaret. C’est ainsi que j’ai découvert le jazz. » Elle enregistre de nombreux titres dont Over the Rainbow ou Begin the Beguine de Cole Porter. Les années d'Occupation De retour en France pendant l’Occupation allemande, Marjane devient une des plus grandes vedettes de la France occupée. Elle se produit au Concert Pacra en 1941. Elle dirige son propre cabaret, L’Écrin, près de l’Opéra, puis Chez Léo Marjane, et se produit aussi dans d’autres salles à la mode, comme le Casino Montparnasse et les Folies-Belleville. En 1942, elle remporte un immense succès avec la chanson Seule ce soir11, dans laquelle se reconnaissent les centaines de milliers de femmes françaises dont le mari est prisonnier de guerre en Allemagne ; elle accède ainsi au vedettariat. Elle divorce le 20 décembre 1943. La Libération et les critiques À la Libération, Léo Marjane est poursuivie par les Comités d’épuration pour avoir chanté dans des établissements fréquentés par des officiers allemands ainsi qu’à Radio-Paris. Elle est arrêtée et jugée, puis finalement acquittée, mais sa notoriété et son image sont durablement atteintes. Elle est frappée d'interdiction de travailler pendant les années qui suivent la guerre, et jusqu’en 1951 ses disques conservés dans les archives de Radio France sont tous estampillés censuré. « Je ne pouvais pas empêcher les Allemands d’entrer. J’étais connue, célèbre, il était inévitable que j’aie beaucoup d’ennemis. Les Français ont eu honte d’eux-mêmes, alors ils en ont voulu à ceux qui étaient sur le devant de la scène. » « J’aimerais bien savoir qui n’a pas chanté ? Et ceux qui prétendent ne pas l’avoir fait n’ont pas de mémoire. Il fallait que je gagne ma vie. » Dans un entretien à l’occasion de son centenaire, elle dévoile : « Mon mari, le colonel Charles de Ladoucette, que j’ai épousé en 1946 et qui à l’époque était lieutenant, faisait partie d’un réseau de la Résistance dirigé par le colonel Rémy. Et c’est moi, Marjane, qui ai entretenu financièrement ce réseau » « On a dit beaucoup de bêtises sur moi, ils ont voulu me démolir, (…) Quand on est en haut de l’affiche, on essaie de vous descendre, mais pourquoi démentir quand ce n'est pas vrai ? » Le rebond Le 22 août 1946 à Paris, elle épouse en secondes noces Charles, baron de Ladoucette (1912-2007), colonel et écuyer du Cadre noir, partageant une passion commune pour les chevaux. De cette union naît Philippe de Ladoucette. Sous le nouveau nom de Marjane (« J'avais trouvé le prénom, Léo, et Marjane était la compression de Marie-Jeanne. Puis j’ai supprimé Léo, considéré en Amérique où je me produisais souvent, comme un prénom d’homme, en France aussi d’ailleurs, et je suis restée Marjane6. »), elle tente de relancer sa carrière, avec Mademoiselle Hortensia de Louiguy et Jacques Plante, Mets deux thunes dans l’bastringue de Jean Constantin, Je veux te dire adieu de Gilbert Bécaud, et son interprétation de Secret Love de Doris Day et de Monsieur mon passé de Léo Ferré mais « elle ne tient pas longtemps sous le feu des critiques. » En 1949, elle abandonne la scène mais continue d’enregistrer. Elle apparaît parfois au Brésil, aux États-Unis ou au Canada, où elle a animé une série d’émissions de télévision musicales, qu’elle double également en anglais, intitulée Quartiers de Paris / District of Paris et dont des archives subsistent à Radio-Canada. Cette partie de carrière est restée ignorée en France. En Amérique, elle connaît un gros succès, notamment à Québec, mais il est trop tard pour recommencer une carrière ; elle fait une rentrée remarquée à Paris en 54 au Moulin-Rouge. Jacqueline François lui obtient un contrat de disques chez Véga alors que le 33 tours Pathé (1954) était resté sans suite. Elle chante jusqu'en 1961, et se produit notamment au Sportpalast de Berlin, avec Zarah Leander au programme ; elle a également chanté en Allemagne de l'Est, accompagnée par les Chœurs de l'Armée rouge. Le retrait Mais le métier changeait. Après une rentrée en 1959 à Pacra où elle ne tient l'affiche que quelques jours, en dépit de ses qualités d'interprète, elle comprend que son tour est passé, « Quand ce n’est plus l'heure, ce n’est plus l’heure. (…) Certains partent trop tôt, d’autres trop tard. Je n'avais plus rien à faire dans ce métier ». Mais ses disques, dont les droits voisins sont désormais dans le domaine public pour la plupart, sont toujours réédités en compilations. Elle tente toutefois un bref « come-back » en 1969 qui n'a aucun retentissement, renonçant par la suite totalement au métier et se murant dans le silence jusque 2001, où elle accorde une interview à Martin Pénet pour France Musique. Carrière au cinéma En 1943, Léo Marjane débute à l’écran dans le film Feu Nicolas, une comédie de Jacques Houssin avec le comique Rellys. Elle y chante deux superbes blues du futur mari de Line Renaud, Loulou Gasté, avec une puissance et une présence remarquables. En 1951, elle est la tête d’affiche du film Les Deux Gamines, de Maurice de Canonge, adaptation d’un mélodrame qui avait fait couler beaucoup de larmes autrefois. La chanteuse y chante deux chansons puis disparaît pendant les trois-quarts du film (le personnage qu’elle incarne, Lise Fleury, disparaissant dans un accident d’avion). Marjane n’y apparaît qu’au début et à la fin. On la retrouve dans un petit rôle de chanteuse des rues dans Elena et les Hommes (1956) de Jean Renoir, et elle prête aussi sa voix à une chanteuse de cabaret dans la version française du film Ariane (Love in the Afternoon) de Billy Wilder, en 1957. Retraite À sa retraite, Marjane se consacre à sa famille et à sa première passion, l’équitation et l’élevage de chevaux, à Barbizon, près de Fontainebleau, dans le Gâtinais. Elle meurt des suites d’une crise cardiaque le 18 décembre 2016 à Barbizon, âgée de 104 ans. Quelques chansons interprétées par Léo Marjane Léo Marjane a enregistré plus de 180 chansons pour les firmes Gramophone entre 1937 et 1944, Decca France entre 1946 et 1953, Pathé-Marconi en 1954/55, et Véga pour ses derniers titres. Liste non exhaustive, L'Âme du diable, paroles de Loulou Gasté et Jacques Larue, musique de Louiguy - 1943 L'Arc en ciel (Over the Rainbow), musique de Harold Arlen - Marc-Cab, musique du film Le Magicien d'Oz - 1939 À Shanghai ou ailleurs, écrite par Raymond Mamoudy Attends-moi mon amour, paroles de Jacques Larue, musique d’Alec Siniavine - 1940 Au bord de l'eau, André Grassi - 1952 Ay je l’aime, paroles et musique Charles Aznavour - 1956 Avec ces yeux là, Charles Aznavour, Barclay et Legrand - 1956 Bei Mir Bist Du Shein, – en anglais –, (Sholom Secunda, Sammy Cahn & Saul Chaplin) - 1938 Bei Mir Bist Du Shein – en français –, paroles de Jacques Larue - 1938 Bonjour Tommy (1939) Bonsoir mon ange, (Good Night Angel), L. Wrubel - Jean Cis - 1939 Brazil-Brésil, A. Barroso et J.Larue - 1947 C’est la barque du rêve, Dave Franklin et Cliff Friend, adaptée en français par Louis Houzeau et L. Palex - 1938 C’est Maman, M. Blot - M. Yvain du film Les Deux Gamines C’était trop beau, (Heaven Can Wait), J. Van Heusen - Louis Poterat - 1939 C'était une histoire d'amour - 1943 ; non gravée sur disque. Chanson bleue paroles d’Eddy Marnay et musique d’Émile Stern La Chapelle au clair de lune, adaptation française par Henri Varna, Léo Lelièvre, Marcel Cabridens, musique de Bill Hill - 1937 Les Croix, paroles Louis Amade, musique Gilbert Bécaud 1952 Clopin-Clopant - 1947 Clair de Lune - 1949 Deux voix dans l’ombre, - 1939 Divine Biguine, paroles de Louis Hennevé et L. Palex, musique de Cole Porter) 1940 En septembre sous la pluie, (September in the Rain), Harry Warren - Jacques Larue - 1937 Était-ce la pluie ? (Was It Rain ?), Lou Handmann - Jacques Larue - 1938 L'Escalier, paroles et musique de Jean Tranchant- 1938 Fumée aux yeux, paroles de Louis Hennevé et L. Palex, musique Jerome Kern - 1933 Et tout ça - date incertaine Good Night Sweet Dreams Good Night, Teddy Powell - André Hornez - 1938 L'Honorable Monsieur Untel, (I Am in Love with the Honorable Mister So and So), Sam Coslow - Lemarchand - 1941 It’s a Long Way to Tipperary - 1941 Il suffit d'une fois - 1944 J’ai fait tout ça pour rien, paroles de Jacques Larue, musique de Jean Lutèce - 1941 Java, paroles d'Eddy Marnay, musique d'Emil Stern - 1956 J’ai peur d'une chanson (Make Love with a Guitar), Maria Grever - Louis Poterat - 1939 Jamais je n’ai rêvé de vous, A. Siniavine - Jean Solar - 1943 Je fais tout ça pour rien, Jean Lutèce - Jacques Larue - 1941 Je ne crois plus à rien de Jean Lenoir - 1932 Je ne t’aime plus, Wal-Berg - Jean Lenoir & Walter Florel - 1938 Je te dois, Orchestre Raymond Legrand - 1941 Je vous ai souri, (Non dimenticar le mie parole), G. Danzi - Jean Solar - 1938 Katia du film Il peut neiger, paroles de Roger Fernay, musique de Wal-Berg - 1938 Douce harmonie - date incertaine La Légende du troubadour (Ces années là : 1943) La chanson que personne ne chantait - 1947 Le Refrain de la pluie, (A Man and his Dream), James Monaco - Jacques Larue - 1941 Les prisons - 1933 Les Feuilles Mortes, Prévert et Kosma - 1950 Luna Lunera orchestre dirigé par Raymond Legrand - 1950 Loin des Sambas, South America, Take it Away, paroles française de Louis Poterat, Musique Harold Rome- 1947 Mademoiselle Hortensia, de Louiguy et Jacques Plante Mais combien je t'aimais de Jean Lenoir - 1933 Mazeltov, d’André Dassary - 1950 Mets deux thunes dans l’bastringue, Jean Constantin - 1954 Moisson, paroles de René Rouzaud, musique Louis Ferrari - v.1950 Mon Ange, paroles de Jean Féline et musique de Bruno Coquatrix - 1940 Ne dis pas de folies avec orchestre - 1933 Notre valse à nous, paroles de Maurice Martelier, musique de Louiguy - 1942 Mon cœur est léger, Wal-Berg - Camille François - 1940 Mon secret amour, du film Calamity Jane - 1955 Music, maestro, please, Allie Wrubel - Pierre Bayle - 1938 Perdue pour tout le monde, Solar - Marjane - 1943 On m'a volé tout ça, écrite par Florence Véran On s’aimera quelques jours, paroles de Jacques Larue, musique de Louiguy - 1943 ; non gravée sur disque mais enregistré à La Joie de Vivre en 1956. Ô mon prince charmant, Franz Engelen - Solar - 1943 Rose, noir ou gris, paroles de Jacques Larue, musique de Louiguy - 1943 Le Refrain de la pluie - 1938 Rêve d’un soir, paroles Henri Lemarchand, musique Joé Bellingham - 1947 Reviens, Fragson et Christiné1950 Rumba (Blame it on the Rumba), Jimmy McHugh - Valaire - 1937 Sainte Madeleine, Loulou Gasté - Jacques Larue - 1943 Sans toi, je n’ai plus rien, paroles Jean Loysel, musique Théo Mackeben - 1941 Sentimentale, parole et musique de Charles Trenet - 1942 Tu n'as pas compris - date incertaine Ma vie s'éveille - date incertaine Sérénade au vent du soir, paroles de Louis Poterat, musique de Francis Lopez - 1944 Sérénade portugaise, paroles et musique de Charles Trenet - 1940. Seule ce soir, paroles de Rose Noël et Jean Casanova, musique de Paul Durand - 1941 Simplement doucement, (Heart ans Soul), Hoagy Carmichael - Hennervé & Palex - 1938 Soir indigo, (Deep Purple), Peter de Rose - Paul Misraki - 1939 Soir sur la forêt, (Twiling in the Trail), Louis Altier - Louis Hennevé & Louis Palex - 1937 Souvenances, (I’ll Remember), paroles de Henri Lemarchand, musique de Burton Lane - 1941 Sur les pavés de Paris, paroles de Jacques Larue, musique de Jean Lutèce - 1941 Sur ma vie, paroles et musique de Charles Aznavour - 1955 Si tu savais, Georges Ulmer - 1950 Tendrement tristement, paroles de Jacques Larue, musique d’Alec Siniavine La Tour de Monsieur Eiffel, par Mireille et Jean Nohain - 1955 Le marchand de Poésie - 1950 Luna Lunera - 1950 Tu passeras - 1933 Tenampa, Georges Ulmer - 1950 Tourbilllon - 1953 Un navire sur le fleuve, Paul Bonneau - Francis Blanche) - 1943 Un simple tête à tête, (A Table in the Corner), Dana Suesse - Féline & Lemarchand - 1941 Un soir… et puis toujours - Good Night Sweet Dreams Good Night André Hornez - Teddy Powell - 1938 La Valse au village, paroles françaises de Louis Poterat et Rose Stock - 1939 Votre amour guide mon cœur, Georges van Parys - Bernard & Roland - 1942 Vous et moi, Robert Bosmans - Raymond Lefebvre - 1942 Vous qui passez sans me voir, Johnny Hess, Charles Trenet et Paul Misraki Vous seul, (My Own), Jimmy McHugh - Henri Lemarchand et A. Mauprey - 1939 When The world was young (Ah the apple trees), Philippe Gérard-Angèle Vannier-Johnny Mercer - 1952 Meric wikipédia

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