LE PAYS DU SOURIRE / LEHAR

LE PAYS DU SOURIRE / LEHAR

R266
8,00 €
TTC
1 CD / LE PAYS DU SOURIRE (EXTRAITS) AVEC TONY PONCET, RENÉE DORIA, HENRY GUY / ORCHESTRE JÉSUS ETCHEVERRY

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LE PAYS DU SOURIRE (extraits)
Franz Lehar
Opérette romantique en trois actes
Adaptation française André Mauprey et Jean Marietti
Avec Tony Ponce, Renée Doria…
 
Acte I
1 Introduction et air de Lisa                                               4’58’’
2 On se plait depuis toujours (Lisa-Gustave)                1’32’’
3 Toujours sourire… (air d’entrée de Sou-Chong)             4’33’’
4 Prendre le thé à deux… (Lisa-Sou-Chong)                    4’15’’
5 Dans l’ombre blanche des pommiers… (Sou-Chong)    3’34’’
6 Duo (Lisa-Sou-Chong) Final                                           7’ 34’’
 
Acte II
7 Qui, dans nos cœurs, a fait fleurir… (Lisa-Sou-Chong)    3’39’’
8 Au salon d’une pagode… (Mi)                                          3’38’’
9 Mon amour et ton amour… (Mi-Gustave)                         2’12’’
10 Je t’ai donné mon cœur (Sou-Chong)                         3’41’’
 
Acte III
11 Je veux revoir mon beau pays… (Lisa)               1’54’’ 
12 Brune poupée… (Mi-Gustave)                             2’02’’
13 Final     
                                                             
En supplément de programme : d’autres interprètes

José Janson
14 Je t'ai donné mon cœur                                       3’08’’   
          
Rudy Hirigoyen
15 Dans l'ombre blanche des pommiers…               3’18’’
16 Je t'ai donné mon cœur                                       3’18’’   
                          
André Dassary
17 Toujours sourire…                                               3’54’’ 
18 Dans l'ombre des pommiers en fleurs…             3’32’’ 
19 Je t'ai donné mon cœur…                                   3’16’’

Les interprètes
 
Sou-Chong                Tony Poncet (ténor)
Lisa                            Renée Doria (soprano)
Gustave                     Henri Guy (baryton)
Mi                               Lucie Dolène
 
Orchestre et chœurs René Alix direction Jésus Etcheverry
Réalisation  Guy Dumazert
P Philips 1957

Synopsis
 
Acte I
Chez le Comte
Le rideau se lève sur une soirée chez le Comte Lichtenfels dans sa villa de Holdenbourg. Lisa, la fille du comte, resplendissante, est accueillie chaleureusement par les invités et particulièrement par  Gustave qui est très épris d’elle. Mais Lisa est attirée par le charme exotique du prince Sou-Chong. Après un Thé pris à deux, Sou-Chong expose comment on conçoit le flirt dans son pays et qu’il va être rappelé en Chine : Lisa veut-elle le suivre… Oui, elle sera sa femme.
 
Acte II
Pékin dans le palais du prince
On retrouve les deux amoureux mariés à Pékin, ils sont heureux mais on reproche au prince son union avec une européenne et sa monogamie, peu appréciée dans ce pays… Il lui faut épouser d’autres princesses ! Après une scène violente avec son oncle, il cède, mais pour lui ces unions ne seront que le sacrifice à une coutume qu’il entend bien ne pas respecter à la lettre… Lisa ne veut pas accepter, même pour la forme, un tel partage et elle projette de quitter la Chine Je veux revoir mon beau pays… s’écrie-t-elle. Sou-Chong pour la garder l’enferme dans l’appartement réservé aux femmes !
Gustave, de son coté, pour revoir Lisa, s’est fait envoyer en mission diplomatique à Pékin où il rencontre Mi, la très attirante sœur de Sou-Chong et ils sympathisent !
 
Acte III
Pékin dans le palais du prince
Mais Gustave a retrouvé Lisa et prépare son évasion. Mi, qui a compris l’incompatibilité de sa situation avec Gustave va l’aider de toutes ses forces pour permettre leur départ vers l’Europe… Sou-Chong et sa sœur, eux, restent en Chine… !

Franz LEHAR

Franz Lehár est né le 30 avril 1870 à Komarno (komarom) en Autriche-Hongrie, son père est le chef de la fanfare de l’armée. Sa langue maternelle est le hongrois mais Franz devient bilingue très tôt et ses compétences linguistiques lui ont également permis d’apprendre d’autres langues. Franz Lehár étudie d’abord le piano. Son talent se révèle très tôt. À 11 ans, il compose sa première chanson. En 1880, son père est transféré à Budapest et Lehár entre au conservatoire de Prague, étudie le violon, la composition musicale (avec Dvorak) et la théorie musicale.
Il commence sa carrière musicale en tant que musicien d’orchestre, à Vienne, joue dans l’orchestre de son père et, montant petit à petit les échelons, il en devient son successeur. Il est ensuite à Pula, Trieste et Vienne. Dès ses deux premières compositions, Wiener Frauen et Der Rastelbinder, il est considéré le futur maître de l’opérette. Avec le succès mondial de La Veuve Joyeuse sa notoriété ne fait qu’augmenter…
Au fil des ans, Lehár a acquis une fortune prodigieuse. Il achète une vaste demeure à Vienne et une villa à Bad Ischl, une importante station thermale. Les relations de Franz Lehár avec le régime nazi sont tendues. Il a toujours utilisé des librettistes juifs pour ses opéras et a fait partie du milieu culturel viennois, qui comprenait de nombreux juifs. En outre, bien que Lehár soit catholique, son épouse Sophie est d’origine juive mais convertie au catholicisme. En 1943, Lehár est cependant autorisé à se rendre avec sa femme en Suisse. Il souffre de problèmes biliaires, rénaux, glandulaires et oculaires et de pneumonie. Il passera les derniers mois de la guerre à Bad Ischl où il restera après la mort de sa femme, jusqu’en 1948, année de son décès…

ŒUVRES LYRIQUES
Extrait : titres français
 
Le Réparateur de chaudrons    1902
Le Mari idéal                              1904
Mariage pour rire                       1904 
La Veuve joyeuse                      1905
Taliana                                       1906
Le Comte de Luxembourg         1909
L’Amour tzigane                         1909
Le pays du sourire                     1923
La Tsarévich                               1927



Franz LEHAR Franz Lehár est né le 30 avril 1870 à Komarno (komarom) en Autriche-Hongrie, son père est le chef de la fanfare de l’armée. Sa langue maternelle est le hongrois mais Franz devient bilingue très tôt et ses compétences linguistiques lui ont également permis de bien comprendre rapidement d’autres langues. Franz Lehár étudie d’abord le piano. Son talent se révèle très tôt. À 11 ans, il compose sa première chanson. En 1880, son père est transféré à Budapest et Lehár entre au conservatoire de Prague et étudie le violon, la composition musicale (avec Dvorak) et la théorie musicale. Lehár commence sa carrière musicale en tant que musicien d’orchestre, à Vienne, il joue dans l’orchestre de son père et, montant petit à petit les échelons, il en devient son successeur. Il est ensuite Pula, Trieste et Vienne. Dès ses deux premières compositions, Wiener Frauen et Der Rastelbinder, il est considéré le futur maître de l’opérette. Avec le succès mondial de La veuve Joyeuse sa notoriété ne fait qu’augmenter, Au fil des ans, Lehár a acquis une fortune prodigieuse. Il achète une vaste demeure à Vienne et une villa à Bad Ischl, une importante station thermale. Les relations de Franz Lehár avec le régime nazi sont tendues. Il a toujours utilisé des librettistes juifs pour ses opéras et a fait partie du milieu culturel viennois, qui comprenait de nombreux juifs. En outre, bien que Lehár soit catholique, son épouse Sophie est d’origine juive mais convertie au catholicisme. En 1943, Lehár est cependant autorisé à se rendre avec sa femme en Suisse. Il souffre de problèmes biliaires, rénaux, glandulaires et oculaires et de pneumonie. Il passera les derniers mois de la guerre à Bad Ischl où il restera après la mort de sa femme, jusqu’en 1948, année de son décès… ŒUVRES LYRIQUES Extrait : titres français Le Réparateur de chaudrons 1902 Le Mari idéal 1904 Mariage pour rire 1904 La Veuve joyeuse 1905 Taliana 1906 Le Comte de Luxembourg 1909 L’Amour tzigane 1909 Le pays du sourire 1923 La Tsarévich 1927

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